Pour commencer, la connaissance du langage humain pourrait être presque une caractéristique d’appartenance suffisante pour nous qualifier d’Homo Sapiens .

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En effet, la bonne maîtrise de notre langue ne reposerait pas seulement sur notre temps d'apprentissage mais également sur notre génétique .

Par exemple, plusieurs troubles de l'apprentissage des langues (apraxie, aphasie…) pourraient être liés à une mutation d'un ou plusieurs genres ( FOXp2 , microdélétion 22q11 , ajout ou suppression d'un chromosome X, Y….).

En bref, le patrimoine génétique joue un rôle non négligeable dans l'apprentissage des langues .

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De plus, notre façon de parler traduit notre environnement .

L'adaptation de notre circuit synaptique et de nos cellules neuronales à l'environnement (initialement pour rester en vie) traduit l'information que nous apprenons jour après jour.

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Ce circuit nous permettra à notre tour de transmettre notre culture et les informations nécessaires à la survie de notre progéniture.

L'exemple classique d'un enfant qui apprend une langue, vit avec un locuteur natif sans étudier, montre clairement à quel point l'environnement est important dans le processus d'apprentissage d'une langue.

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En même temps, on ne peut ignorer que la génétique et l’environnement ont une relation liée pour apprendre une langue.

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En effet, sans modification de notre connexion neuronale et de la modulation de l'expression de notre genre en réponse à notre environnement, la compréhension de l'environnement et le processus d'apprentissage des langues sont considérablement réduits, voire impossibles.

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