غلط‌گیری‌ها

Depuis que je suis tout jeune, j’ai voulu comprendre ce qui fait que la vie soit vivante.

Ça c’est sans doute une question très difficile à répondre du coup, mais on peut expliquer des parties plus petites et puis unir les pièces du puzzle.

Pour commencer, on doit choisir une aire concrète sur laquelle on veut travailler et par les réponses de laquelle on découvrait comment fonctionne quelque chose.

Ensuite, on doit établir une base solide à raison des publications révisées par la contribution de la communauté scientifique.

Éventuellement, on pourra définir des aspects spécifiques dans un champ de recherche et caractériser ce qui cause une maladie ou un problème du développement, entre des autres dizaines des options.

Dans ma trajectoire personnelle, je décidai à étudier la biochimie, après quoi j’obtins d’expérience dans trois groupes de recherche différents dans la biophysique et l’immunologie.

Avec cette perspective, je ne crois pas qu’il y ait un champ de la biologie dans lequelle les résultats, par exemple comment se régule l’activité d’une protéine, puissent se rendre utiles et publiables aussi rapidement et aussi assurément comme dans la biophysique.

C’est, dans mon avis, vraiment étonnant quand on peut démontrer comment fonctionne un mécanisme physiologique à base de faire des expériences scientifiques sur leurs composants élémentaires.

Par contre, des résultats trompeurs peuvent conduire à des erreurs conceptuelles.

C’est pour ça qu’il faut qu’on ait d’information convaincante avant qu’on puisse dire avec certitude ce qu’est la cause d’un phénomène.

Mais comment fait-on pour savoir ce qu’on doit ou peut rechercher ?

Ça c’est forcément une combinaison de faire ce qu’on aime et trouve intéressant avec beaucoup de la chance d’être le premier à faire une percée ou à trouver la guérison pour une infection virale.

Cette dernière exemple est spécialement toute importante face aux problèmes liés à la pandémie dans laquelle nous nous trouvons actuellement.