แก้คำให้ถูกต้อง

Soit dans le sport, soit dans la vie, à un moment nous allons tous subir des blessures.

Moi, je me suis blessé tellement de fois que j’ai perdu le compte.

Mais je me souviens d’eux qui ont laissé leur marque.

Les blessures sont frustrantes, sur le plan physique et le plan mental, ils peuvent même nous bouleverser la vie si son effet est particulièrement destructeur.

Pour certains, comme les athlètes, une blessure sévère peut arrêter une carrière.

Mais ce soir je veux être optimiste et dire que chaque blessure porte une leçon.

C’est notre choix de le laisser ou prendre, de nous faire évoluer ou abandonner.

Alors ce soir je vais raconter toutes mes blessures sérieuses et réfléchir à ses leçons afin de m’aider et les accepter et me murir.

1/ Quand j’avais seize ans, je me suis cassé trois orteils, au cours d’un combat d’entrainement où j’ai donné un coup de pied sur le coude de mon adversaire.

C’était le début des vacances de Pâque, et j’étais coincé dans mon lit.

Par contre, c’est pendant ces deux semaines que j’ai vraiment commencé à écouter la musique.

J’ai appris que le repos me fait du bien de temps en temps, dans une façon ou d’une autre.

2/ Quand j’avais vingt ans, je me suis déchiré les muscles de bas du dos pendant une répétition d’un soulevé de terre dans la salle de remise en forme.

J’ai sous-estimé mes limites, et j’ai payé le prix.

Le pire c’est que j’ai nié que j’avais un problème pendant un ans.

Après un ami m’a dit que je ne cesse pas de me plaindre, j’ai réalisé que j’avais à problème et j’ai commencé un cours de traitement chez un acuponcture qui m’a fait du bien.

J’ai appris la leçon d’humilité et d’apprécier la santé.

Nous étions en train de faire une technique en karaté où mon adversaire a simulé une attaque que j’ai résisté et échoué de déplacer le genou.

C’est une blessure qui me fait encore mal aujourd’hui, mais laquelle j’ai beaucoup appris sur l’anatomie et physiologie et comment obtenir le bon alignement des articulations dans les mouvements.

4/ En janvier précèdent, je me suis déchiré les muscles de haut du dos, en particulier le rhomboïde qui se situe entre l’omoplate et la colonne vertébrale.

J’étais en train de faire le poirier où j’ai senti une forte douleur qui s’est vite précipité au long du dos.

J’avais du mal à respirer et, suite aux conseils de ma femme, je me suis rendu à l’hôpital pour une radiographie mais heureusement rien s’est cassé.

Par contre, six mois plus tard, la douleur reste et je dois me patienter encore quelque temps.

J’ai appris que, après une blessure il faut prendre soin de moi-même, prendre du temps pour bien récupérer avant de recommencer l’entrainement et surtout pas ne recommence pas à 100%- le corps a besoin du temps pour récupérer toute sa force.