Korektoj

Text from Engineergeek - Français

  • Les derniers jours de l’opération Hardy (1)

    • Le 13 septembre, le capitaine Hibbert s’était déplacé vers l’est, parcourant plus de 50 kms jusqu’à une forêt entre Grand Poirmont et Aillevillers-et-Lyaumont, où il avait établi la base 7.
    • Le même matin, le sergent-major Puttock et le sergent Linton quittentavaient quitté la base située près de Bourbonne-les-Bains pour évacuer le soldat Oxley, qui avait été blessé deux jours auparavant, vers les lignes américaines.
    • Oxley voyage dans une voiture civile, prise en sandwich entre les deux jeeps.
    • Ils avaient emprunté un itinéraire passant par Fresnoy, Damblain, Sauville et Bulgnéville, où ils avaient contacté l’armée française, qui avait fait en sorte qu’Oxley soit transporté en ambulance à Contrexéville.
    • Puttock et Linton étaient aussi allés étaient aussi allés à Contrexéville car Linton avait voulu voir un dentiste.
    • Les Allemands s’étaient reformés sur une ligne allant de Remoncourt à Darney, à l’est de Contrexéville, et Puttock avait passé la nuit dans la ville voisine de Vittel, qui avait été libérée le jour même.
    • Elle est bien connue pour son eau minérale en bouteille qui est vendue dans de nombreux pays.
    • Les occupants avaient repris de nombreux hôtels en France pour loger les internés.
    • L’un d’entre eux, situé à Vittel, avec des courts de tennis et une station thermale, avait été utilisé comme camp d’internement et avait accueilli 2 000 personnes, pour la plupart des Américains, des Russes, des Britanniques et des Juifs de Pologne et d’Autriche qui avaient falsifié des passeports britanniques et américains.
    • Une partie de l’hôtel était utilisée comme hôpital, et les chambres étaient assez confortables.
    • Les internés n’étaient pas tenus de travailler mais certains aidaient à la cuisine pour obtenir des privilèges spéciaux.
    • Ils étaient autorisés à sortir avec un garde et à acheter les choses dont ils avaient besoin.
    • Ils échangeaient également des cigarettes et des chocolats avec les habitants.
    • Les 2 000 internés venaient d’être libérés et avait fait beaucoup de cas des six troupes britanniques qui avaient arrivées dans la ville le soir même.
    • Le matin suivant (14 septembre), Puttock était parti avec ses deux jeeps, guidé par une fille, et avait rencontré un médecin français sur une moto, qui avait offert de les guider vers le capitaine Hibbert.
    • Si le médecin savait réellement où se trouvait le camp d’Hibbert ou si Puttock était simplement guidé vers un endroit particulier, je ne peux que spéculer, mais Puttock devait avoir une radio avec lui car le capitaine Hibbert avait essayé de lui envoyer un message lui conseillant la prudence car le camp était encerclé par les Allemands.
    • Après que le médecin les ait laissés à l’orée du bois, ils avaient trouvé Hibbert, qui était très surpris de voir arriver Puttock, car il ne s’était pas rendu compte que son message n’avait pas été transmis malgré la mention ”urgent”.

PLEASE, HELP TO CORRECT EACH SENTENCE! - Français

  • Titolo
  • Frazo 1
    • Le 13 septembre, le capitaine Hibbert s’était déplacé vers l’est, parcourant plus de 50 kms jusqu’à une forêt entre Grand Poirmont et Aillevillers-et-Lyaumont, où il avait établi la base 7.
      Voĉdoni nun!
    • Le 13 septembre, le capitaine Hibbert s’était déplacé vers l’est, parcourant plus de 50 kms jusqu’à une forêt entre Grand Poirmont et, Aillevillers- et- Lyaumont, où il avait établi la base 7.
    • Le 13 septembre, le capitaine Hibbert s’était déplacé vers l’est,. Il avait parcouranut plus de 50 kmsilomètres jusqu’à une forêt entreoù il y avait établit(installer) la base 7 entre le lieu-dit Grand Poirmont et le village d'Aillevillers-et-Lyaumont, où il avait établi la base 7 .
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 1ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 1
  • Frazo 2
    • Le même matin, le sergent-major Puttock et le sergent Linton quittentavaient quitté la base située près de Bourbonne-les-Bains pour évacuer le soldat Oxley, qui avait été blessé deux jours auparavant, vers les lignes américaines.
      Voĉdoni nun!
    • Le même matin, le sergent-major Puttock et le sergent Linton quittentavaient quitté la base située près de Bourbonne-les-Bains pour évacuer le soldat Oxley, qui avait été blessé deux jours auparavant, vers les lignes américaines.
    • Le même jour au matin, le sergent-major Puttock et le sergent Linton quittentavaient quitté la base située près de Bourbonne-les-Bains pour évacuer le soldat Oxley, qui avait été blessé deux jours auparavant, vers les lignes américaines.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 2ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 2
  • Frazo 3
  • Frazo 4
    • Ils avaient emprunté un itinéraire passant par Fresnoy, Damblain, Sauville et Bulgnéville, où ils avaient contacté l’armée française, qui avait fait en sorte qu’Oxley soit transporté en ambulance à Contrexéville.
      Voĉdoni nun!
    • Ils avaient emprunté un itinéraire passant par Fresnoy, Damblain, Sauville et Bulgnéville, où ils avaient contacté l’armée française, qui. Le commandement avait fait en sorte qu’Oxley soit transporté en ambulance à Contrexéville.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 4ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 4
  • Frazo 5
    • Puttock et Linton étaient aussi allés étaient aussi allés à Contrexéville car Linton avait voulu voir un dentiste.
      Voĉdoni nun!
    • Puttock et Linton étaient aussi allés étaient aussi allés à Contrexéville car Linton avait voulu voir un dentiste.
    • Puttock et Linton s'étaient aussi allés étaient aussi allésrendus également à Contrexéville car Linton avait voulu(besoin de)) voir un dentiste.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 5ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 5
  • Frazo 6
    • Les Allemands s’étaient reformés sur une ligne allant de Remoncourt à Darney, à l’est de Contrexéville, et Puttock avait passé la nuit dans la ville voisine de Vittel, qui avait été libérée le jour même.
      Voĉdoni nun!
    • Les Allemands s’étaient reformés sur une ligne allant de Remoncourt à Darney, à l’est de Contrexéville, et Puttock avait passé la nuit dans la ville voisine de Vittel, qui avait été libérée le jour même.
    • Les Allemands s’étaient reformés** sur une ligne allant de Remoncourt à Darney, à l’est de Contrexéville, et
      Puttock avait passé la nuit dans la ville voisine de Vittel, qui avait été libérée le jour même.***
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 6ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 6
  • Frazo 7
  • Frazo 8
    • Les occupants avaient repris de nombreux hôtels en France pour loger les internés.
      Voĉdoni nun!
    • LA l'époque, les occupants avaient repriséquisitionné de nombreux hôtels en France pour logedétenir les internés civils ou politiques.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 8ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 8
  • Frazo 9
    • L’un d’entre eux, situé à Vittel, avec des courts de tennis et une station thermale, avait été utilisé comme camp d’internement et avait accueilli 2 000 personnes, pour la plupart des Américains, des Russes, des Britanniques et des Juifs de Pologne et d’Autriche qui avaient falsifié des passeports britanniques et américains.
      Voĉdoni nun!
    • L’un d’entre euxe ces établissements, situé à Vittel, aveccomprenant des courts de tennis et une station thermale, avait été utilisé comme camp d’internement et avait accueilli 2 000 personnes, p. Pour la plupart, c'étaient des Américains, des Russes, des Britanniques et des Juifs de Pologne et d’Autriche qui avaient falsifié des passeports britanniques et américains.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 9ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 9
  • Frazo 10
  • Frazo 11
    • Les internés n’étaient pas tenus de travailler mais certains aidaient à la cuisine pour obtenir des privilèges spéciaux.
      Voĉdoni nun!
    • Les internés n’étaient pas tenus de travailler mais certains aidaient à lales cuisineiers pour obtenir des privilèges spéciaux.
    • Les internés n’étaient pas tenus de travailler mais certains aidaient à la cuisine pour obtenir des privilèges spéciaux.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 11ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 11
  • Frazo 12
  • Frazo 13
  • Frazo 14
    • Les 2 000 internés venaient d’être libérés et avait fait beaucoup de cas des six troupes britanniques qui avaient arrivées dans la ville le soir même.
      Voĉdoni nun!
    • Les 2 000 internés venaient d’être libérés et. Ils avaient fait beaucoup de cas des six troupes britanniques qui avaient grand cas de l'arrivées, dans la ville le soir même., des troupes Britanniques
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 14ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 14
  • Frazo 15
    • Le matin suivant (14 septembre), Puttock était parti avec ses deux jeeps, guidé par une fille, et avait rencontré un médecin français sur une moto, qui avait offert de les guider vers le capitaine Hibbert.
      Voĉdoni nun!
    • Le matin suivant (14 septembre), Puttock était parti avec ses deux jeeps, guidé par une fille, et avait rencontré un médecin français sur une moto, qui avait offertdécidé de les guideraccompagné vers le capitaine Hibbert.
    • Le matin suivant (14 septembre), Puttock était parti avec ses deux jeeps, guidé par une fille, et. Il avait rencontré un médecin français surconduisant une moto, qui avait offproposert de les guider vers le capitaine Hibbert.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 15ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 15
  • Frazo 16
    • Si le médecin savait réellement où se trouvait le camp d’Hibbert ou si Puttock était simplement guidé vers un endroit particulier, je ne peux que spéculer, mais Puttock devait avoir une radio avec lui car le capitaine Hibbert avait essayé de lui envoyer un message lui conseillant la prudence car le camp était encerclé par les Allemands.
      Voĉdoni nun!
    • Si lce médecin savait réellement où se trouvait le camp d’Hibbert ou si Puttock était simplement guidé vers un endroit particulier à son insu, je ne peux que spéculer, m. Mais Puttock devait avoir une radio avec lui et être sur ses gardes car le capitaine Hibbert avait essayé de lui envoyer un message lui conseillant la prudence car le camp étaint encerclé par les Allemands.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 16ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 16
  • Frazo 17
    • Après que le médecin les ait laissés à l’orée du bois, ils avaient trouvé Hibbert, qui était très surpris de voir arriver Puttock, car il ne s’était pas rendu compte que son message n’avait pas été transmis malgré la mention ”urgent”.
      Voĉdoni nun!
    • Après que le médecin les ait laissés à l’orée du bois, ils avaient trouvé Hibbert, qui était très tout surpris, de voir arriver Puttock, car il ne s’était pas rendu compte que son message n’avait pas été transmis malgré la mention ”urgent”. ¶
    • Après que le médecin les aieut laissés à l’orée du bois, ils avaient trouvé Hibbert, qui était très surpris de voir arriver Puttock, car il ne s’était pas rendu compte que son message n’avait pas été transmis malgré la mention ”urgent”.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 17ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 17