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Opération Robey (6)

• Il conduisait une Lancia qu’il avait obtenue de son domicile familial à Paris.

• L’après-midi, alors qu’il patrouillait dans la voiture près de Recey-sur-Ource, il était pris pour cible par un avion allié et mitraillé.

• La voiture, non identifiée et prise pour une voiture allemande, était détruite et Pinci était tué.

• Il était enterré à Auberive, mais plus tard, ses restes était exhumés et ré-inhumés au cimetière nord de Clichy, à Paris.

• Le lendemain de la mort de Pinci, l’opération Robey était privée de ses trois véhicules civils par le maquis d’Auberive.

• Les SAS avait prétendu que bien qu’ayant reçu l’ordre du colonel Claude, commandant le maquis de la Haute-Marne, de les restituer, le capitaine Max, chef d’Auberive, avait refusé d’exécuter cet ordre.

• Avec le retrait des Allemands, le capitaine Max était devenu un homme politique, et des incidents de tir avaient été signalés entre ce groupe et d’autres groupes maquisards plus orthodoxes.

• Bien que cela ne corresponde pas aux récits français de cette journée, on m’avait dit que Max était un personnage difficile.

• Cela peut avoir causé une confusion car le quartier général de Claude n’était pas loin, à Aignay-le-Duc, et il avait été impliqué dans la bataille de Châtillon 3 semaines plus tôt, et en effet le commandement de Claude comprenait la Haute-Marne.

• Mais, le jour en question, le maquis d’Auberive était allé rejoindre la première division blindée à Prauthoy et Longeau, où se tient un conseil de guerre avec le général du Vigier, le général Sudre, le lieutenant-colonel Durosoy, commandant le 2e Cuirassiers, le lieutenant-colonel Lecoq, commandant le 2e Spahis, et le colonel de Grouchy (Michel), représentant les FFI et commandant d’Astier.

• Il y avait plusieurs objectifs, mais une compagnie commandée par le capitaine Max doit marcher sur Saints-Geosmes, ce qui laisse penser qu’il avait exécuté des ordres à ce moment-là.