Correções

Texto de Maria8811 - Français

  • Merci pour vos corrections ! “Les rêves”

    • Une image très étrange me rendait visite quand j'étais un enfant.
    • Plus souvent cela passait au moment - là où/ que je regardais longtemps dehors par la fenêtre.
    • Les passants allaient, se rencontraient,se passaient, s'arrêtaient, se souriaient, agitaient les mains; les femmes, les enfants, les hommes, les chiens, toute cette circulation "coulait" et "coulait" toutes les heures le long de la rue.
    • Il me semblait que les gens feignaient seulement préoccupés, indifférents, pressés, ils feignaient parce qu'ils ont oublié quelque chose du plus important, du plus solennel et j'attendais que cela est sur le point d'arriver, qu'une merveilleuse idée oublié est sur le point d'embrasser entièrement le monde et que toute s'arrêtera.
    • Les gens, les animaux, les maisons, les pierres, les nuages, toute vivant et pas vivant se secouera, se figera, se taira et prêtera l'oreille.
    • Alors, au -dessus du monde , dans le ciel, se fera entendu le son du tuyau d'archange rappelant au tribunal éternel/ terrible.
    • J'attendais ce miracle avec une peur et une profonde croyance dans mon coeur.
    • J'attendais cela jusqu'au moment que les réverbères s'allumaient comme deux chaînes dorées des lumières.
    • En outre, j'avais le mauvais rêve qui se répétait presque tous les mois et qui me tourmentait : dans une pièce sombre et vide étaient assis certaines personnes abattus de terrible, tremblants, épuisées.
    • Je suis avec elles.
    • Quelques - uns de nous étaient assis le long des murs, dans les coins, ayant embrassé les genoux minces de ses mains et se balancaient, les autres déchiraient les cheveux ou marchaient de long en large, évitant les uns les autres à l'aide des mouvement évasifs des animaux enfermés dans une cage.

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    • Les passants allaient, se rencontraient,se passaient, s'arrêtaient, se souriaient, agitaient les mains; les femmes, les enfants, les hommes, les chiens, toute cette circulation "coulait" et "coulait" toutes les heures le long de la rue.
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    • Les passants allaient, se rencontraient,se passaient, s'arrêtaient, se souriaient, agitaient les mains; les femmes, les enfants, les hommes, les chiens, toute cette circulation "s'écoulait" et "s'écoulait" toutes les heures le long de la rue.
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    • Il me semblait que les gens feignaient seulement préoccupés, indifférents, pressés, ils feignaient parce qu'ils ont oublié quelque chose du plus important, du plus solennel et j'attendais que cela est sur le point d'arriver, qu'une merveilleuse idée oublié est sur le point d'embrasser entièrement le monde et que toute s'arrêtera.
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    • Il me semblait que les gens feignaient seulement d'être préoccupés, indifférents, pressés, ils feignaient parce qu'ils oavaient oublié quelque chose du plus important, due plus solennel et j'attendais que cela esoit sur le point d'arriver, qu'une merveilleuse idée oublié esoit sur le point d'embrasser entièrement le monde et que toute s'arrêtera.
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    • En outre, j'avais le mauvais rêve qui se répétait presque tous les mois et qui me tourmentait : dans une pièce sombre et vide étaient assis certaines personnes abattus de terrible, tremblants, épuisées.
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    • En outre, j'avais lce mauvais rêve qui se répétait presque tous les mois et qui me tourmentait : dans une pièce sombre et vide étaient assis certaines personnes abattus de terribleterriblement abattues , tremblantes, épuisées.
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    • Quelques - uns de nous étaient assis le long des murs, dans les coins, ayant embrassé les genoux minces de ses mains et se balancaient, les autres déchiraient les cheveux ou marchaient de long en large, évitant les uns les autres à l'aide des mouvement évasifs des animaux enfermés dans une cage.
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    • Quelques - uns d'entre nous étaient assis le long des murs, dans les coins, ayant embrassé leurs genoux minces de seleurs mains et se balancaient, les autres déchirs'arrachaient les cheveux ou marchaient de long en large, s'évitant les uns les autres à l'aide des mouvements évasifs comme des animaux enfermés dans une cage. ¶
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