Correções

Texto de Skyelight - Français

    • Pourquoi Sommes-nous Tous Auteurs ? (Deuxième Partie)

    • Dans l’extrait précèdent, j’ai essayé d’élucider un peu le concept de pouvoir.
    • Depuis des siècles, le concept de pouvoir a été consacré au pouvoir physique, personnifié par l’armée, la guerre et la violence.
    • Je ne veux pas nier que ce sens de pouvoir n’a aucun rapport ; au contraire, ce pouvoir est bien réel, dans notre passé, notre présent, et j’imagine dans notre avenir aussi.
  • C’est un pouvoir que nous voyons très facilement ; nous le connaissons bien.
    • Mais en faisant ca nous avons oublié un tel pouvoir ; le pouvoir de la langue.
    • Chaque mot de notre vocabulaire est une source de pouvoir ; les mots représentent l’origine de civilisation, la source de nos idées, de notre moralité, et de changer notre langue et de changer nous-même.
    • Oui, c’est bien difficile de voir ce sens de pouvoir parce-que nous le voyons pas avec les yeux, c’est souvent un pouvoir qui s’agit de l’intérieur.
    • Mais ce sens de pouvoir est bien réel que n’importe quel coup de bâton ou balle dans la tête.
    • Si le pouvoir physique s’agit de nos corps, l’autre sens que nous venons de parler s’agit de nos esprits et nos cœurs.
    • Je crois que j’en ai suffisamment parlé pour le moment.
    • Alors donc, à retourner à notre dernière question ; que faisons-nous après nous nous rendons compte de cette révélation ?
    • J’ai proposé, j’ai juré, que nous ne restons pas inactifs.
  • Je veux parler des histoires.
    • Apres nous avons mangé, boire, construire notre maison, faire l’amour et de nous coucher, notre prochain instinct et de raconter des histoires.
    • Notre ADN nous a beaucoup aidés dans notre création, mais hors de la question de la nature, nous avons développé un besoin des histoires.
    • A quoi ils-servent ?
    • A mon avis, les histoires nous aident à créer et recréer le monde.
    • Si notre langue, nos mots (comme j’ai déjà expliqué dans l’extrait précèdent) ont une sorte de faculté de changer notre monde, alors pourquoi pas les histoires, une collection des mots avec un sens ou message peuvent-ils être un pouvoir féroce ?
    • Dans les histoires, nous capturons nos sentiments, nos pensées, et en les partageant nous transmettre un message à tous les gens qui les entendre ou qui les lire.
    • Les histoires, dès qu’ils se répandent dans la société, ils commencent d’exercer un tel pouvoir.
    • Le pouvoir dans ce sens est bien compliqué, et au lieu de trouver une réponse aux questions, j’ai fini par créer des autres.
    • Mais, nous pouvons être sur dans un point.
    • Nous sommes une société basé sur les histoires ; nous respirons l’air des histoires comme si, sans eux, nous serons asphyxie, nous étoufferions, nous mourions.
    • Un tel pouvoir ainsi.
    • Les histoires dans la littérature, les films, la télévision, ils se trouvent même dans nos conversations et même quand nous parlons de beau temps et de soleil.
    • Oui, Nous respirons l’air des histoires chaque seconde ; nous en avons besoin.
    • Alors, peut-être une question qui se pose est ; qui raconte, qui interprète, qui écrit les histoires que nous suivent ?
    • Demander cette question est, en réalité, de demander qui nous sommes.
    • En réalité, nous luttons tous, nous avons tous notre propre histoire à raconter ; la réalité est que, pour le meilleur ou pour le pire, il y en a qui sont plus grandes, plus féroces que les autres.
    • Il y a des histoires qui dominent les autres ; ce sont des histoires qui en réalité représentent notre monde.
    • Il faut que nous gardons cette connaissance ; de l’oublier nous courir un grand risque, peut-être un monde ou une seul histoire nous domine tous. Et alors ?
    • Qu’est que vous racontez ?

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