Corrections

Bien que nous soyons tous bien informés de la dégradation de notre planète et de l’urgence de la sauver, paradoxalement, notre société n’a jamais été aussi consommatrice.

Serions-nous prêts à renoncer à nos armoires pleines de vêtements et les divers produits dans le frigo, provenant de quatre coins du monde au profit d’une vie plus responsable et respectueuse d’environnement ?

La propagation de surconsommation est avant tout dû à la tendance de suivre la mode et de se mettre à jour des avancées technologiques.

Un phénomène encouragé l’agrément par les médias et les réseaux sociaux et soutenu par les grandes industries.

En d’autres termes, nous nous voyons souvent dans l’obligation d’acheter de nouveaux vêtement ou de changer des meubles et des appareils électroniques de crainte de ne pas paraitre dépassés.

De surcroit, quant aux produit alimentaires, ceux qui n’aient pas un aspect attirant aux yeux des acheteurs, termineraient forcement dans la poubelle.

La conséquence de tels gaspillages, en premier lieu, consiste à la perte de l’énergie et les ressources, la promotion des industries polluantes et l’accumulation des déchets.

Contribuant ainsi à l’épuisement des ressources naturelles, la production de gases à effet de serre et la dégradation environnementale.

Ensuite, il est claire que la croissances des demandes provoque l’augmentation des prix, et finalement, il ne faut pas négliger la souffrance que l’industrie de la mode impose aux ouvriers de bon marché et ainsi qu’aux animaux de laboratoire.

Dans la perspective d’apporter des résolutions à ce problématique, l’essentiel c’est de sensibiliser les consommateurs ainsi que les producteurs à travers des évènements culturels et les programmes éducatifs.

De la même façon, prendre les mesures telles que encourager la société à acheter des produit locaux, prôner l’achat des articles moches, abîmés ou près de la date de péremption en appliquant des réduction, informer sur l’importance de réparer au lieu d’acheter et faire le recyclage, contribuera à minimiser notre empreinte carbone.