Korrigeringar

Text från Engineergeek - Français

  • Les derniers jours de l’opération Hardy (fin)

    • Tôt le lendemain matin, à 5 h, et avec un risque réel d’être entendu par les forces allemandes beaucoup plus nombreuses, Hibbert avait ordonné la tâche très ardue de malmener les jeeps jusqu’à ce qu’elles soient hors de portée de voix de l’ennemi.
    • Cela devait représenter une distance considérable à travers la forêt, et dans le calme du petit matin, même les pas étaient bruyants, donc pousser neuf jeeps dans un silence absolu devait être difficile.
    • Ils se étaient déplacés vers une zone moins encombrée sur le côté nord du même bois.
  • Ils avaient entendu des tirs au nord-ouest tout au long de la journée, mais étaient restés aussi silencieux que possible.
  • L’escadron avait dû rester tranquille toute la journée du lendemain car il était complètement encerclé par les forces hostiles.
    • Finalement, le 18 septembre, Hibbert et Puttock avaient pris le risque de sortir en jeep, et juste en bas de la route, au village de Le Clerjus, ils avaient constaté que les forces américaines étaient arrivées.
    • Hibbert y était retourné pour démanteler le camp et se rendre à Saint-Loup, où les Américains avaient établi leur quartier général.
    • Cela avait dû être un grand soulagement pour tout l’escadron, car le fait d’être si lourdement encerclé par l’ennemi avait dû être très stressant.
    • Ils avaient lentement traversé la France jusqu’à Arromanches, où ils avaient retrouvé le major Farran et l’opération Wallace.
    • Selon Farran, tout l’escadron était arrivée ensemble à Southampton.
    • Nous devons nous arrêter là, car les registres des mouvements des navires de transport de troupes avaient apparemment été détruits délibérément, pour des raisons inconnues, en 1951.

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    • Tôt le lendemain matin, à 5 h, et avec un risque réel d’être entendu par les forces allemandes beaucoup plus nombreuses, Hibbert avait ordonné la tâche très ardue de malmener les jeeps jusqu’à ce qu’elles soient hors de portée de voix de l’ennemi.
      Rösta nu!
    • Tôt le lendemain matin, à 5 h, et avec un risque réel d’être entendu par les forces allemandes beaucoup plus nombreuses, Hibbert avait ordonné la tâche très ardue de malmener les jeeps jusqu’à ce qu’elles soient hors de portée de voix de l’ue des ennemis.
    • Tôt le lendemain matin, à 5 h, et avec un risque réel d’être entendu par les forces allemandes beaucoup plus nombreuses, Hibbert avait ordonné la tâcheun travail très ardue de malmendéplacer les jeeps sans faire de bruit jusqu’à ce qu’elles soient hors de portée de voix de l’ennemi.
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    • Cela devait représenter une distance considérable à travers la forêt, et dans le calme du petit matin, même les pas étaient bruyants, donc pousser neuf jeeps dans un silence absolu devait être difficile.
      Rösta nu!
    • Cela devait représenter une distance considérable à traverparcourir dans la forêt, et d. Dans le calme du petit matin, même les pas étaient bruyants, d. Donc déplacer en pousserant neuf jeeps dans un silence absolu devait être difficile.
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    • Finalement, le 18 septembre, Hibbert et Puttock avaient pris le risque de sortir en jeep, et juste en bas de la route, au village de Le Clerjus, ils avaient constaté que les forces américaines étaient arrivées.
      Rösta nu!
    • Finalement, le 18 septembre, Hibbert et Puttock avaient pris le le risque de sortir en jeep, et javec une jeep. Juste en bas de la route, au village de Le Clerjus, ilIs avaient pu constatéer que les forces américaines étaient arrivées.
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    • Hibbert y était retourné pour démanteler le camp et se rendre à Saint-Loup, où les Américains avaient établi leur quartier général.
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    • Hibbert y était retourné en forêt pour démanteler le camp et ensuite se rendre à Saint-Loup, où les Américains avaient établi leur quartier général.
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    • Cela avait dû être un grand soulagement pour tout l’escadron, car le fait d’être si lourdement encerclé par l’ennemi avait dû être très stressant.
      Rösta nu!
    • Cela avait dû êtrette nouvelle situation fut un grand soulagement pour tout l’escadron, car l. Le fait d’être si lourdcomplètement encerclé par l'ennemi bien installé avait dû être très stressant.
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    • Ils avaient lentement traversé la France jusqu’à Arromanches, où ils avaient retrouvé le major Farran et l’opération Wallace.
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    • Ils avaient lentement traversé la France d'est en ouest jusqu’à Arromanches, où ils avaient retrouvé le major Farran et l’opération Wallace.
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    • Nous devons nous arrêter là, car les registres des mouvements des navires de transport de troupes avaient apparemment été détruits délibérément, pour des raisons inconnues, en 1951.
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    • Nous devons nous arrêter là,ne pouvons relater** plus car les registres des mouvements des navires de transport de troupes avaient, apparemment, été détruits délibérément, pour des raisons inconnues, en 1951.
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