Korrigeringar

Text från Engineergeek - Français

  • La bataille de Châtillon (1)

  • L’escadron combiné avait attaqué Châtillon aux premières lueurs du jour.
    • Le plan était de s’emparer des jonctions routières et des carrefours importants avec des jeeps, puis d’envoyer un groupe à pied, avec des Brens transportés par des jeeps, aussi loin que possible derrière le château.
  • Le signal du début de l’attaque devait être donné lorsque le mortier de 3 pouces ouvrirait le feu sur le château.
    • Cette action avait été considérée par certains, dont Farran lui-même, comme dépassant le cadre des activités prescrites pour cette opération SAS.
    • Dans son livre sur l’histoire du SOE en France, l’historien militaire Michael Foot décrit l’opération Wallace comme ressemblant davantage à la cavalerie qu’à une armée clandestine.
    • La veille au soir, lors du dîner avec le colonel Claude, une grande quantité de vin rouge avait été consommée et l’idée de cette attaque avait germé.
    • Farran décrit comment, malgré leurs barbes et leurs vêtements sales, les Français les avaient traités avec autant de courtoisie que s’ils avaient été d’importants plénipotentiaires.
    • Des toasts avaient été portés et, à la réflexion, Farran pensait que le colonel Claude considérait que ses intentions belliqueuses étaient dues à un courage liquide et qu’il n’avait donc pas pris leurs plans sauvages au sérieux.
    • Les maquisards acceptèrent de fournir 500 hommes si les SAS fournissaient assez d’essence pour déplacer leurs camions.
    • Le sergent Linton avait été renvoyé à la base pour aller chercher l’essence.

VÄNLIGEN, HJÄLP TILL ATT RÄTTA VARJE MENING! - Français

  • Rubrik
  • Mening 1
  • Mening 2
    • Le plan était de s’emparer des jonctions routières et des carrefours importants avec des jeeps, puis d’envoyer un groupe à pied, avec des Brens transportés par des jeeps, aussi loin que possible derrière le château.
      Rösta nu!
    • Le plan était de s’emparer des jonctions routières et des carrefours importants avec des jeeps, puis d’envoyer un groupe à pied, avec des fusils mitrailleurs Brens transportés par des jeeps, aussi loin que possible derrière le château.
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 2LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 2
  • Mening 3
  • Mening 4
    • Cette action avait été considérée par certains, dont Farran lui-même, comme dépassant le cadre des activités prescrites pour cette opération SAS.
      Rösta nu!
    • Cette action avait été considérée par certains, dont Farran lui-même, comme dépassant le cadre des activités prescritopérations prévues pour cette opération (des)SAS.
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 4LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 4
  • Mening 5
    • Dans son livre sur l’histoire du SOE en France, l’historien militaire Michael Foot décrit l’opération Wallace comme ressemblant davantage à la cavalerie qu’à une armée clandestine.
      Rösta nu!
    • Dans son livre sur l’histoire du SOE en France, l’historien militaire Michael Foot décrit l’opération Wallace comme ressemblant davantagbeaucoup plus à de à la cavalerie plutôt qu’à une armée clandestine.
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 5LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 5
  • Mening 6
    • La veille au soir, lors du dîner avec le colonel Claude, une grande quantité de vin rouge avait été consommée et l’idée de cette attaque avait germé.
      Rösta nu!
    • La veille au soir, lors du dîner avec le colonel Claude, une grande quantité de vin rouge avait été consommée et l’idée de cette attaque avait germé.(dans des esprits surchauffés ?)
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 6LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 6
  • Mening 7
    • Farran décrit comment, malgré leurs barbes et leurs vêtements sales, les Français les avaient traités avec autant de courtoisie que s’ils avaient été d’importants plénipotentiaires.
      Rösta nu!
    • Farran décrit d'ailleurs , comment, malgré leurs barbes et leurs vêtements(tenues) sales, les Français les avaient traités avec autant de courtoisie que s’ils avaient été d’importants plénipotentiaires.
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 7LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 7
  • Mening 8
    • Des toasts avaient été portés et, à la réflexion, Farran pensait que le colonel Claude considérait que ses intentions belliqueuses étaient dues à un courage liquide et qu’il n’avait donc pas pris leurs plans sauvages au sérieux.
      Rösta nu!
    • Des toasts avaient été portés, et, à la réflexion, Farran pensait que le colonel Claude considérait que ses intentions belliqueuses étaient dues à un courage liquideporté par les vins et qu’il n’avait donc pas pris leurs plans sauvagesémis pendant le repas au sérieux.
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 8LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 8
  • Mening 9
    • Les maquisards acceptèrent de fournir 500 hommes si les SAS fournissaient assez d’essence pour déplacer leurs camions.
      Rösta nu!
    • Les maquisards acceptèrent de fournirvaient accepté de mettre à disposition 500 hommes si les SAS fournissaient assez d’essence pour qu'ils puissent déplacer leurs camions.
    • LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 9LÄGG TILL en NY KORRIGERING - Mening 9
  • Mening 10