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Astérix chez les Bretons II
- Tout le village est réuni pour faire ses adieux aux voyageurs.
- Le bateau de Jolitorax n’est pas gros : il est plus petit que le jardin de son oncle, mais il est plus grand que le casque de son neveu.
- (C'est une allusion à Assimil, bien sûr : les degrés de comparaison).
- Pendant que nos héros ramaient vers la Bretagne, un autre navire rentrait en Gaule.
- C’est une galère romaine.
- Le chef Tullius Stratocumulus est très inquiet.
- Il retourne à son ‘calme camp fortifié’ pour retrouver ses voisins très gênants.
- Il les rencontre encore plus tôt qu'il ne le pense, en pleine mer.
- Après une courte bataille, le navire est complètement ruiné, mais Stratocumulus sait que les Gaulois se dirigent vers la Bretagne pour aider leurs amis irréductibles.
- Les Romains doivent être avertis et il ordonne de retourner en Bretagne pour prévenir le préfet.
- Pendant ce temps, nos amis approchent de la côte bretonne.
- Mais, qu’est-ce que c’est ?
- C’est du brouillard.
- Il y a toujours de la brouillard... quand il ne pleut pas.
- Il faut creuser un tunnel pour aller de la Gaule en Bretagne pour éviter cette terrible pluie quand on voyage.
- Le premier repas chez les Bretons dans l’auberge “Le Rieur Sanglier”. Sanglier !!! C'est génial.
- Le sanglier rôti pour les Gaules fatiguées et affamées.
- Mais pour commencer, la célèbre cervoise tiède de la Bretagne.
- Ensuite, le sanglier bouilli avec de la sauce à la menthe.
- Mais ce n'est pas le moment d'être capricieux : en Bretagne il fait faire comme les Bretons.
- Le première rencontre avec la patrouille romaine.
- Qu’y a-t-il dans le tonneau ?
- Ce n’est que de la cervoise tiède.
- Bon, ils peuvent partir.
- Mais les Romains peut-être ont fait une erreur.
- Le messager arrive et leur dit que ils doivent être en alerte.
- On recherche de dangereux irréductibles : un Breton et deux Gaulois avec une arme secrète dans un tonneau.
- Il est temps de se dépêcher et de trouver un endroit pour se cacher à Londinium (Londres).
- Mais la route est bloquée par la patrouille romaine des deux côtés.
- Il ne reste qu’une seule possibilité : foncer à travers champs.
- Un gentilhomme est un train de tondre son gazon.
- Avec 2.000 ans de soins ce gazon sera acceptable.
- Pas de chance !
- mikkilinnJune 2020Проголосувати
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