Korektoj

Text from Maria8811 - Français

  • Merci pour vos corrections !

  • Notre conversation allait mal.
    • Au début, nous nous adressions / parlions en "vous" avec un ton factice - vivant, nous deux avons senti que de minute en minute notre conversation devenait de plus en plus ennuyeuse et douloureuse et que nous pouvions avec peine la maintenir.
    • Sans doute il y avait un froid obstacle étrange, encombrant entre nous et nous ne savions pas de quelle manière pourrions - nous le surmonter.
  • Le soir du printemps s'éteignait.
    • La chambre est devenue sombre.
  • Je voulais donner l'ordre d'apporter la lampe, mais vous m'avez demandé de ne pas allumer la lumière.
    • Peut - être que c'était l'obscurité qui a contribué au fait que nous nous sommes finalement décidés de parler de notre passé.
  • Nous avons commencé à en parler avec une raillerie indulgent et débonnaire comme d'habitude les adultes parlent de leurs espiègleries d'enfants, mais c'est bizarre que plus nous nous efforçions de paraître gais l'un devant l'autre et même devant nous - mêmes, plus nos mots devaient tristes.
    • Enfin, nous nous sommes complètement tus et nous sommes longtemps assis sans bouger et même presque sans respirer.
    • Par la fenêtre ouvrante nous entendions la rumeur de la grande ville, le bruit de roues, les sons rauques de tramways, les sonnettes saccadés de vélos.
    • Tous ces sons nous parvenaient un peu plus doux et plus triste - alarmantes que jamais.
    • On voyait le bande bronze du ciel et dans son fond on noircissent la silhouette d'un toit avec des cheminées.
    • Je ne vous distinguais pas dans l'obscurité, mais je voyais l'éclat de vos yeux regardés par la fenêtre et il me semblait qu'il y avait des larmes dans eux.

PLEASE, HELP TO CORRECT EACH SENTENCE! - Français

  • Titolo
  • Frazo 1
  • Frazo 2
    • Au début, nous nous adressions / parlions en "vous" avec un ton factice - vivant, nous deux avons senti que de minute en minute notre conversation devenait de plus en plus ennuyeuse et douloureuse et que nous pouvions avec peine la maintenir.
      Voĉdoni nun!
    • Au début, nous nous adressions /la parlionsole en "vnous" avec vouvoyant sur un ton factice - vivant, nous deux avons senti que/forcé , vivant; au fil des minute en minuts, nous sentions que notre conversation devenait de plus en plus ennuyeuse et douloureuse e, au point que nous ne pouvions avec peine la maintenir avec peine.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 2ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 2
  • Frazo 3
    • Sans doute il y avait un froid obstacle étrange, encombrant entre nous et nous ne savions pas de quelle manière pourrions - nous le surmonter.
      Voĉdoni nun!
    • Sans doute il y avait-il un froid entre nous, un obstacle étrange, encombrant entre nous et nous ne savions pas de quelle manière nous pourrions - nous le surmonter.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 3ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 3
  • Frazo 4
  • Frazo 5
  • Frazo 6
  • Frazo 7
    • Peut - être que c'était l'obscurité qui a contribué au fait que nous nous sommes finalement décidés de parler de notre passé.
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    • Peut - être que c'était l'obscurité qui a contribué au fait que nous nous sommes finalement décidés deà parler de notre passé.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 7ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 7
  • Frazo 8
    • Nous avons commencé à en parler avec une raillerie indulgent et débonnaire comme d'habitude les adultes parlent de leurs espiègleries d'enfants, mais c'est bizarre que plus nous nous efforçions de paraître gais l'un devant l'autre et même devant nous - mêmes, plus nos mots devaient tristes.
      Voĉdoni nun!
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 8ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 8
  • Frazo 9
    • Enfin, nous nous sommes complètement tus et nous sommes longtemps assis sans bouger et même presque sans respirer.
      Voĉdoni nun!
    • Enfin, nous nous sommes complètement tus et nous sommes longtemps restés assis sans bouger et même presque sans respirer.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 9ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 9
  • Frazo 10
    • Par la fenêtre ouvrante nous entendions la rumeur de la grande ville, le bruit de roues, les sons rauques de tramways, les sonnettes saccadés de vélos.
      Voĉdoni nun!
    • Par la fenêtre ouverante, nous entendions la rumeur de la grande ville, le bruit des roues, les sons rauques des tramways, les sonnettes saccadées de vélos.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 10ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 10
  • Frazo 11
  • Frazo 12
    • On voyait le bande bronze du ciel et dans son fond on noircissent la silhouette d'un toit avec des cheminées.
      Voĉdoni nun!
    • On voyait le bande bronze du ciel et dans son fond on noircissent lLa silhouette d'un toit avec des cheminées assombrissait le ciel couleur bronze.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 12ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 12
  • Frazo 13
    • Je ne vous distinguais pas dans l'obscurité, mais je voyais l'éclat de vos yeux regardés par la fenêtre et il me semblait qu'il y avait des larmes dans eux.
      Voĉdoni nun!
    • Je ne vous distinguais pas dans l'obscurité, mais je voyais l'éclat de vos yeux regardéser par la fenêtre et il me semblait qu'il y avait des larmes dans eux. y voir des larmes.
    • ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 13ALDONI NOVAN KOREKTON - Frazo 13