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Text from Japanada - Français

  • La vérité sur l'empire du Japon (page 170)

    • Avec la proclamation de la loi de « normalisation des élections » le nombre d'électeurs explosait, qui augmentait dramatiquement les dépenses des élections.
    • Avant la loi de normalisation, une campagne typique coûtait environ 30.000 yens, mais après la promulgation de la loi en 1928, les dépenses d'une campagne similaire augmenta à 50.000 yens, puis à 70.000 yens en 1932.
    • Soixante-dix mille yen vaut aujourd'hui environ 100.000.000 yens (un million dollars).
    • Une telle somme était impossible pour une personne ordinaire, donc les candidats de l'époque cherchaient désespérément aux financiers ou aux hommes qui avaient l'influence signifiant dans une majeure partie politique.
    • Les parties politiques établissent des fonds publics pour le soutien du financement des candidats officiels.
    • C'est le même système aujourd'hui où les parties politiques exauce une somme des fonds pour un candidat qui est reconnu officiellement par le parti.
    • Ce système fut premièrement employé par Okuma Shigenobu, dont au début il allouait au 5000 yen¹ par candidat.
    • En 1932 au temps des élections, le parti Seiyukai allouaient cinq millions de yens pour financer leurs candidats, le parti Minsei, trois millions de yens, qui étaient distribués dans le pays parmi les 300 candidats.
    • ¹5000 yens aujourd'hui vaut environ un peu moins de 10.000.000 yens (US 100.000 dollars).
    • De plus, dans la même époque, les gros bonnets des partis commencèrent à donner de « l'argent de poche » à leurs candidats préférés.
    • Naturellement, ces politiciens et leurs candidats avaient des relations intimes et le factionilisme était né.
    • Le factionilisme actuel qui se trouve dans le système politique du Japon fut créé dans les années 1930.
  • Les partis et les liens avec le zaibatsu.

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    • Avec la proclamation de la loi de « normalisation des élections » le nombre d'électeurs explosait, qui augmentait dramatiquement les dépenses des élections.
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    • Avec la proclamation de la loi de « normalisation des élections » le nombre d'électeurs explosait,ce qui augmentait dramatiquement les dépenses dues aux élections.
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    • Avant la loi de normalisation, une campagne typique coûtait environ 30.000 yens, mais après la promulgation de la loi en 1928, les dépenses d'une campagne similaire augmenta à 50.000 yens, puis à 70.000 yens en 1932.
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    • Avant la loi de normalisation, une campagne typique coûtait environ 30.000 yens, mais après la promulgation de la loi en 1928, les dépenses d'une campagne similaire augmentaèrent à 50.000 yens, puis à 70.000 yens en 1932.
    • Avant la loi de normalisation, une campagne typique coûts'élevait à environ 30.000 yens, mais après lsa promulgation de la loi en 1928, les dépenses d'une campagne similaire augmenta àcoûtait 50.000 yens, puis à 70.000 yens en 1932.
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    • Une telle somme était impossible pour une personne ordinaire, donc les candidats de l'époque cherchaient désespérément aux financiers ou aux hommes qui avaient l'influence signifiant dans une majeure partie politique.
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    • Une telle somme était impossible pour une personne ordinaire, donc les candidats de l'époque cherchaient désespérément auxdes financiers ou auxdes hommes qui avaient lune'influence signifiant dans une majeure partiemajeure dans la politique.
    • Une telle sommeIl était impossible pour une personne ordinaire, donc le trouver un tel budjet. Les candidats de l'époque cherchaient désespérément auxdes financiers ou auxdes hommes qui avaient l'une influence signifiant dans une majeurecative dans les principaux parties politiques.
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    • C'est le même système aujourd'hui où les parties politiques exauce une somme des fonds pour un candidat qui est reconnu officiellement par le parti.
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    • C'est le même système aujourd'hui où les parties politiques exauce une sommeconsacrent des fonds pour un candidat qui est reconnu officiellement par le parti.
    • C'est le même systèmprincipe aujourd'hui où les parties politiques exauce une somme deconsacrent une partie de leurs fonds pour un candidat qui est reconnu représente officiellement par le parti.
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    • Ce système fut premièrement employé par Okuma Shigenobu, dont au début il allouait au 5000 yen¹ par candidat.
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    • Ce système fut premièrementd'abord employé par Okuma Shigenobu, dontqui au début il allouait au 5000 yen¹ par candidat.
    • Ce système fut premièremend'allocation fut employé par Okuma Shigenobu, dont au début ilqui le premier allouait au 5000 yens¹ parà chaque candidat investi par le parti.
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    • En 1932 au temps des élections, le parti Seiyukai allouaient cinq millions de yens pour financer leurs candidats, le parti Minsei, trois millions de yens, qui étaient distribués dans le pays parmi les 300 candidats.
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    • En 1932 au temps des élections, le parti Seiyukai allouaient cinq millions de yens pour financer leurses candidats, le parti Minsei, trois millions de yens, qui étaient distribués dans le pays parmi les 300 candidats.
    • En 1932 au temps, à l'époque des élections, le parti Seiyukai allouaient cinq millions de yens pour financer leurses candidats, tandis que le parti Minsei, accordait trois millions de yens, qui étaient distribués dans le pays parmi les 300 candidatà ses 300 représentants dans le pays.
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    • De plus, dans la même époque, les gros bonnets des partis commencèrent à donner de « l'argent de poche » à leurs candidats préférés.
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    • De plus, dansà la même époque, les "gros bonnets" des partis commencèrent à donner de « l'argent de poche » à leurs candidats préférés.
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