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Texto de Japanada - Français

  • La vérité sur l'empire du Japon (page 153)

    • Pourtant, on ne peut dire que les soldats étaient bénéficiés d'un grand salaire.
    • À l'époque, il y avait bien sûr des jeunes hommes qui sortaient des écoles élites pour les officiers.
    • Cettes écoles étaient équivelantes à l'université impériale - extrêmement compétitive et difficile à entrer.
    • Néanmoins, les officiers qui matriculaient d'une telle institution ne recevaient pas de salaire plus haut qu'un civil ordinaire dans la société.
    • Selon Sejima Ryusan, qui travaillait en tant qu'état-majeur au quartier général durant la deuxième guerre mondiale, un sous-lieutenant gagnait environ 60 yens par mois¹, mais après les déductions pour la nourriture et des autres dépenses, son salaire net n'étaient que 30 ou 40 yens.
    • De plus il fallait qu'il paye pour son logement et à la fin du mois le 5 sen² lui manquait pour le frais du bain.
    • ¹Sous-lieutenant : les diplômes des écoles pour officiers commencèrent toujours au rang de sous-lieutenant pendant six mois.
    • Tard ou tôt on put avancer au rang de sous-colonel.
    • De l'autre côté un soldat ordinaire, au mépris de son courage et de dévoument, ne put jamais avancer au delà le rang de lieutenant-majeur.
    • ²À l'époque, 100 sen fit un yen.—traducteur En termes qui s'expriment les attentesdes soldats à l'époque : « un sous-lieutenant est pauvre; un lieutenant s'en sort; un lieutenant-majeur gagne la vie.
    • » Les officiers et les sous-officiers devaient acheter leurs propres uniformes, leurs propres armes è feu et leurs propres épées.
    • Pour cette raison les lieutenants souvent louaient une chambre dans une pension tandis que les lieutenants-majeurs arrivaient finalement au niveau où ils pouvaient louer un nagaya - une sorte de maison de plan-pied.
    • Les hommes qui s'engageaient, qui ne sortaient pas des écoles élites pour officiers et devenaient des soldats ordinaires, vivaient en conditions insupportables.

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    • À l'époque, il y avait bien sûr des jeunes hommes qui sortaient des écoles élites pour les officiers.
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    • À l'époque, il y avait bien sûr des jeunes hommes qui sortaient des écoles émilitaires pour les officiers.
    • À l'époque, il y avait bien sûr des jeunes hommes qui sortaient des écoles élites pour les officiers.
      A l'époque, il y avait bien sûr de jeunes hommes qui sortaient d'académies militaires pour les officiers.
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    • Cettes écoles étaient équivelantes à l'université impériale - extrêmement compétitive et difficile à entrer.
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    • Cettes écoles étaient équivelantes àde même niveau que l'université impériale - extrêmement compétitive et difficile à y entrer.
    • Cettes écoles étaient équivelantes à l'université impériale - extrêmement compétitive et difficile à entrer.
      Ces écoles étaient du même niveau que celle de l'université impériale qui était extrêmement compétitive, et sélective.
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    • Néanmoins, les officiers qui matriculaient d'une telle institution ne recevaient pas de salaire plus haut qu'un civil ordinaire dans la société.
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    • Néanmoins, les officiers qui matriculsortaient d'une telle institution ne recevaient pas de salaire plus hauimportant qu'un civil ordinaire dans la société.
    • Néanmoins, les officiers qui matriculaient d'une telle institution ne recevaient pas de salaire plus haut qu'un civil ordinaire dans la société.
      Néanmoins, les officiers qui sortaient d'une telle institution, ne percevaient pas de salaire plus élevé que celui d'un civil (ou fonctionnaire) dans la société.
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    • Selon Sejima Ryusan, qui travaillait en tant qu'état-majeur au quartier général durant la deuxième guerre mondiale, un sous-lieutenant gagnait environ 60 yens par mois¹, mais après les déductions pour la nourriture et des autres dépenses, son salaire net n'étaient que 30 ou 40 yens.
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    • Selon Sejima Ryusan, qui travaillait en tant qu dans l'état-majeuor au quartier général, durant la deuxième guerre mondiale, un sous-lieutenant gagnait environ 60 yens par mois¹, mais après les déductions pour la nourriture et des autres dépenses, son salaire net n'étaient que 30 ou 40 yens.
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    • De l'autre côté un soldat ordinaire, au mépris de son courage et de dévoument, ne put jamais avancer au delà le rang de lieutenant-majeur.
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    • De l'autre côtéAu contraire, un soldat ordinaire, au mépris demalgré son courage et deson dévoument, ne puouvait jamais avancespérer aller au delà le rangdu grade de lieutenant-majeur.
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    • ²À l'époque, 100 sen fit un yen.—traducteur En termes qui s'expriment les attentesdes soldats à l'époque : « un sous-lieutenant est pauvre; un lieutenant s'en sort; un lieutenant-majeur gagne la vie.
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    • ²À l'époque, 100 sen fiéquivalaient un yen.—traducteur¶

      En termes
      ion¶
      qui s'expriment les attentes des soldats à l'époque : « un sous-lieutenant est pauvre; un lieutenant s'en sort; un lieutenant-majeurgénéral gagne la vie."
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    • Pour cette raison les lieutenants souvent louaient une chambre dans une pension tandis que les lieutenants-majeurs arrivaient finalement au niveau où ils pouvaient louer un nagaya - une sorte de maison de plan-pied.
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    • Pour cette raison, souvent, les lieutenants souvent louaient une chambre dans une pension tandis que les lieutenants-majeurs arrivaient finalement auà un niveau où ils pouvaientqui leur permettait de louer un(e) nagaya - une sorte de maison de plaein-pieds.
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    • Les hommes qui s'engageaient, qui ne sortaient pas des écoles élites pour officiers et devenaient des soldats ordinaires, vivaient en conditions insupportables.
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    • Les hommes qui s'engageaient, qui ne sortaient pas des écolAcadémies émilitaires pour officiers et deven,restaient des soldats ordinaires, vivaient endans des conditions insupportables. ¶
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