Corrections

Nutri-score

• Le nouveau système d’étiquetage nutritionnel, appelé Nutri-score, a été finalement approuvé par le gouvernement et sera adopté pour les fabricants et distributeurs dans les prochaines années.

• Ce nouvel étiquetage aidera aux consommateurs à mieux choisir les aliments selon quatre critères : le sel, la mauvaise grasse, l’apport calorique et le sucre.

• Une consommation excessive en n’importe lequel de ces quatre éléments a des mauvaises conséquences pour notre santé.

• L’obésité affecte déjà un 15% de la population française et la tendance va continuer de s’aggraver.

• Le surpoids et l’obésité explique à sont tour l’augmentation des maladies cardiaques et du diabète dans le pays.

• Les Français sont des plus en plus sédentaires.

• Au manque d’exercice s’ajoutent les mauvaises pratiques alimentaires.

• Les plus jeunes ne sont pas épargnés par cette plaie.

• Ils la subissent aussi sans que rien ne permette de croire que la tendance puisse se modifier sans une intervention publique.

• Avec le nouvel étiquetage les consommateurs auront pour la première fois à leur disposition l’opportunité de choisir les produits d’une manière plus consciente et responsable.

• Si le projet marche, les consommateurs feront progressivement pression sur les fabricants et les distributeurs pour qu’ils mettent à la vente des produits de plus en plus sains et naturels.

• De cette façon, le gouvernement parviendrait à modifier les mauvaises habitudes de ses citoyens sans appliquer des mesures plus radicales et impopulaires comme quand ils ont fait augmenter le prix des boissons sucrées avec un impôt spécifique.

• Malheureusement, si cette intervention sur le marché ne change pas les habitudes de consommation, les fabricants ne modifieront non plus la composition de leurs produits.

• On pourrait discuter si les politiciens on le droit ou non de nous dicter ce qu'on devrait consommer ou même d'influencer notre choix.

• À mon avis, tant qu’on veuille compte avec un système de santé publique on devrait accepter également la responsabilité collective.

• Les dépenses de santé ne cessent pas d’augmenter et notre société vieillisse.

• Si on veut que notre système de bien-être continue d’être soutenable, on ferait mieux de réduire les dépenses de santé en améliorant notre style de vie.