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La région de Bruxelles avait une période de floraison impressionnante durant les dernières decennies.

Surtout la croissance du secteur des services est responsable pour cette performance économique.

Il s’agit largement des administrations européennes, fédérales et régionales.

Mais les entreprises étrangères qui investissent dans le secteur des services sont aussi importants.

Avec chaque élargissement de l'Union Européenne il ya des gens plus instruits de nouveaux pays qui se joignent les rangs des officiers à Bruxelles.

Et plus l'Europe se développe, plus l'attraction se pose pour les grands acteurs économiques, comprenant des services spécialisés aux entreprises opérant dans l'économie mondiale.

En plus de la vague de migration des Européens hautement qualifiés, il y avait une augmentation d'un autre type de migrants: migrants de classes inférieures qui, habituellement, finir dans les secteurs les moins bien rémunérés.

Mais aussi ces secteurs ont connu un «boom» grâce à l'économie en plein essor.

Les migrants de la classe ouvrière ont empêchés un dépeuplement de Bruxelles, qui a été mis en mouvement par la suburbanisation par laquelle la classe moyenne belge se déplacé en masse vers la périphérie.

Grâce à ces deux vagues de migration, la population de Bruxelles a développé un profil socio-économique très contrasté.

Donc il y a beaucoup des contradictions internes: la croissance du secteur des services en est associée à une pénurie d'emplois, ce qui entraîne un chômage élevé Bruxelles est une ville où une personne sur quatre vit en dessous du seuil de pauvreté, mais où une élite transnationale bien payé fait un bon 15% de la population.

La différence entre les hauts et bas revenus a continué de croître depuis 1980.