Opravy

Text z Vinh_Revocs - Français

    • RACONTER VOTRE ENFANCE (UTILISEZ FUTUR DU PASSÉ ET L'IMPARFAIT)

    • Quand j’étais un enfant, le jour dans la semaine que j’aimais le plus, c’est le vendredi.
    • La raison est non seulement que c’est le jour où mettait mon dessin animé préféré « Popeye le marin » en ondes mais aussi que je ne devrais pas aller à l’école le lendemain.
    • De plus, le vendredi était aussi le moment où je mettais à compter le temps pour les jeux au week-end, mais mes plans étaient souvent échoués par plusieurs choses imprévues (quand ma mère se surprenait à me penser et me demandait de rentrer à la maison).
  • Je connaissais ce programme par cœur parce que je le répétais chaque semaine.
  • Tout d’abord, je commencerais le week-end en cherchant mon ami Viet et verrais ce qu’il serait en train de faire.
    • S’il avait un nouveau jeu, j’y participerais, sinon nous irions au terrain derrière la maison de mon grand-père.
    • Il y ait toujours des enfants voisins qui jouaient là.
    • Nous jouerions aux cardes magiques, aux billes, à « tac lon » (un jeu vietnamien dont les joueurs utilisent leurs sandales pour renverser les boites de loin distance) et n’importe quel jeu que nous pourrions penser.
  • J’étais un spécialiste au jeu des billes.
    • Ce jeu n’était pas simple comme son air extérieur.
    • Il demandait la concentration, l’observation, la patience et parfois la puissance.
    • Nous considérions les billes comme l’argent, le combat était donc de plus en plus dramatique et s’arrêtait seulement après 3 ou 4 heures, parfois accompagnait avec un argument.
    • À l’après-midi, nous retournerions au terrain après d’avoir chargé l’énergie et continuerions nos jeux.
    • Le programme de l’après-midi était souvent plus intéressé que celui du matin.
    • Il y ait un fleuve près de chez moi.
  • D’abord, nous ferions une course.
    • Celui de nous qui arriverait le premier à ce fleuve, gagnerait.
    • Contrairement au jeu des billes, j’étais un sportif mauvais.
  • J’y arrivais souvent quand tous mes amis avaient nagé deux cercles.
    • Nous jouerions avec l’eau, sauterions d’une berge du fleuve ou du pont, comme un vrai cascadeur.
    • Ensuite, si nous avions un peu de faim, nous « visiterions » le jardin fruitier d’oncle Hai, mon voisin.
    • Il était très gentil avec mes parents, mais très sérieux et avare avec nous.
  • C’est la raison pour laquelle nous l’appelions par tous les surnoms du monde.
    • Quand nous étions repérés par lui, une autre course s’était passée et j’étais toujours le champion.
  • C’est bizarre !
  • À la fin de l’après-midi, nous étions tous épuisés.
    • Néanmoins, nous essaierions utiliser le reste de notre force pour nous promener le long du fleuve, chercherions la feuille du nipa pour créer un criquet.
    • C’était comme une cérémonie pour arrêter un jour merveilleux.
  • Ah oui, c’était vraiment difficile de ne pas penser au week-end dès le vendredi soir…

PLEASE, HELP TO CORRECT EACH SENTENCE! - Français