Voyage Polyglot à Athènes (5 jours)

Descrição do evento

Comentários

aligatus profile picture aligatusJanuary 2010

Hello tout le monde,

Effectivement tu es entrain de nous faire une edition 2010 /2011  du guide du Routard :p

Comme je vous ai précédemment dit, je serai là bas un jour avant vous ) et voici ma réservation :

Booking Information

Athens Backpackers
12 Makri Street
11742 Athens
Athens

p. +30 210 922 4044
email: aligatusaligatus profile picture

Date Room Details Price Guests Total
24th Feb '10 6 Bed Mixed Dorm €16.00 1 €16.00
25th Feb '10 6 Bed Mixed Dorm €17.00 1 €17.00
26th Feb '10 6 Bed Mixed Dorm €17.00 1 €17.00
27th Feb '10 6 Bed Mixed Dorm €17.00 1 €17.00
28th Feb '10 6 Bed Mixed Dorm €16.00 1 €16.00
Total:  €83.00
10% Deposit (€8.30) will be billed in EUR:  €8.30
Service Charge:  €1.50
Charge on Card (Service Charge + Deposit):  €9.80
AMOUNT DUE ON ARRIVAL AT ATHENS BACKPACKERS:  €74.70

Merci pour les infos, j'en avais besoin :D. C'est gentil !!!

Ali +

mati258 profile picture mati258January 2010
Et bien merci aussi à stayats pour ce bombardement d'infos utiles, je les emmène consciencieusement dans le train ce soir :)

En parcourant toutes ces infos vite fait, j'ai déjà 2 remarques :
- Les plans shopping, c'est pour moi : je note cette délicate attention :) mais c'est ce qu'on verra !

- "Parfois, on interdit l'entrée des boîtes de nuit aux garçons « non accompagnés » : décidément mon rôle de fille du groupe prend des proportions, je me vois déjà comme alibi "accompagnement"...

Bises

Mathi
guibry profile picture guibryJanuary 2010

 

Effectivement
 
Merci pour toutes ces infos  !

a+ guillaume

 

 

vincent profile picture vincentJanuary 2010

Whaooo!!! tu sais écrire toi !!

stayats profile picture stayatsJanuary 2010

Salut Vincent Guillaume et les autres!

Comme convenu , voici le c/c de ce que j'ai rassemblé sur Athènes.

Hier j'ai parlé à un poly qui a vécu un an à Athènes et m'a fourniu d'autres renseignements que j'approfondirai sur le forum du Routard

http://www.routard.com/forum/grece/7.htm


Athènes


  KALI OREKSI = bon séjour



Si vous vous attendiez à trouver une cité grecque typique, assoupie, avec des bâtiments blancs, un tranquille port de pêcheur, des ruelles paisibles et des vieillards sympathiques, vous serez certainement surpris. Malgré les célèbres monuments et les antiques vestiges qui s'y trouvent, Athènes est tout sauf une ville morte.
La capitale est animée, parfois même grouillante. Sa chaleur étouffante en été, ses innombrables cars de touristes, sa circulation automobile, ses immeubles tristounets et le néfos, immense nuage de pollution provenant des industries du Pirée, la rendent parfois invivable.
Athènes n’est pas vraiment une touristique, ni représentative de la culture du pays, ce qui explique que le voyageur ne prend pas toujours le temps de s’y attarder.
Et pourtant, cette grosse ville qui n'a rien de dépaysant ne ressemble en rien au reste de la Grèce, et mérite incontestablement un petit détour, ne serait-ce que pour admirer les collections extraordinaires de son musée archéologique ou pour arpenter les hauteurs de l’Acropole, le site antique le plus célèbre du monde.


Carte d’identité Athènes


- Statut : capitale et plus grande ville de Grèce, chef-lieu de la région de l’Attique.
- Population : 760 000 habitants. L’Attique compte près de 3 754 000 habitants, soit près d’un tiers de la population grecque (estimations 2005).
- Superficie : 40 km² (centre-ville) 427 km² (métropole).
- Densité  : 19 619 habitants/km².
- Monnaie : euro.
- Maire : Théodoros Behrakis (depuis février 2006).





Renseignements touristiques


En France

- Office du tourisme : 3, avenue de l'Opéra, 75001 Paris. M. : Palais-Royal-Musée-du-Louvre. Tél. : 01-42-60-65-75.

  Internet : www.grece.infotourisme.com. En été, ouvert du lundi au jeudi de 10 h à 18 h et le vendredi de 10 h à 17 h.

- Ambassade de Grèce : 17, rue Auguste-Vacquerie, 75016 Paris. Tél : 01-47-23-72-28. Internet : www.amb-grece.fr.

- Consulat général de Grèce : 23, rue Galilée, 75116 Paris. M. : Boissière. Tél. : 01-47-23-72-23. Ouvert de 9 h 30 à 13 h.

    Marseille. Tél. : 04-91-33-08-69. Ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 13 h.

- Consulats honoraires à Ajaccio, Bordeaux, Calais, Cherbourg, Dunkerque, Grenoble, La Rochelle, Le Havre, Lille, Lyon, Nantes, Nice, Reims, Rouen, Saint-Étienne, Strasbourg et dans la principauté de Monaco.


À Athènes

- Office du tourisme (siège) : 7, odos Tsokha. M. : Ambélokipi (ligne 3).

  Tél : 21-08-70-70-00.
  Internet : www.gnto.gr. Ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 16 h 30.

Profitez plutôt de celui de l'aéroport si vous arrivez par avion, ou de l'antenne ouverte en centre-ville (voir ci-dessous).

- Office du tourisme (bureau d'information) : 26, Iéroforos Amalias.

  Tél. : 21-03-31-03-92.

  En saison, ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 19 h, le week-end et les jours fériés de 10 h à 16 h

  hors saison, ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 16 h. Très pratique pour s'informer sur les départs de bateaux, les horaires des musées, etc.

- Ambassade de France : 7, odos Vasilissis Sofias.

Tél. : 21-03-39-10-00.
Fax : 21-03-39-10-09.
Internet : www.ambafrance-gr.org.

- Section consulaire : 5-7, léoforos Vassiléos Konstandinou (en face du stade).

Tél. : 21-03-39-12-00.
Fax : 21-03-39-12-09.
Internet : www.ambafrance-gr.org.

Bus numéros 209, 550 et 459
tramxays numéros 2, 4, 11 (station Stadio).

Ouvert au public du lundi au vendredi de 8 h à 13 h.
Permanence du lundi au vendredi de 13 h à 18 h, et le samedi de 9 h à 13 h (pour les urgences seulement, appeler le 693-240-13-43 en dehors des heures d'ouverture ou de permanence, jusqu'à 22 h).

Si vous avez perdu vos papiers, munissez-vous d'une déclaration de perte ou de vol, établie dans le bureau de police le plus proche du lieu où les faits se sont produits, et de 2 photos

. Vous aurez un laissez-passer (en cas d'absence totale de papier d'identité), après vérification en France, qui vous permettra de quitter le territoire grec.

Ces démarches ne sont possibles qu'entre 8 h et 13 h. Prévoir 23 euros.




Formalités d'entrée

- Passeport (en cours de validité) ou carte nationale d'identité.

- Carte d'étudiant : pour les ressortissants de l'Union européenne, elle donne droit à la gratuité dans presque tous les sites et musées.

- Permis de conduire, carte verte.



Banques, change


Attention, les banques n'ouvrent que de 8 h à 14 h (jusqu'à 13 h 30 le vendredi) et sont fermées le week-end.

Pour nos lecteurs hors zone euro, les bureaux de change indépendants sont très nombreux on en trouve un peu partout, autour des places Syndagma et Omonia, ou même dans Plaka, comme Change Star (ouverts tous les jours de 9 h à 21 h 30).

À noter, sur la place Syndagma et dans tous les endroits où passent les touristes, un nombre incalculable de distributeurs.




Hébergement

La situation hôtelière à Athènes n'est pas très réjouissante : les tarifs ont énormément augmenté et, même si la qualité des prestations proposées a, elle aussi, progressé, les prix s'alignent petit à petit sur ceux pratiqués dans les autres capitales européennes. D'autant plus que la haute saison dure en général de début avril, voire du 15 mars, à fin octobre...

Il n'y a guère, à Athènes, que deux ou trois AJ pratiquant des prix d'AJ à des conditions correctes et pour un bon rapport qualité-prix.

Vigilance enfin si vous avez réservé une chambre d'hôtel (et c'est plus que conseillé) : téléphonez la veille ou le matin de votre arrivée pour vous assurer que votre réservation tient toujours.

Si vous avez réservé de France en versant des arrhes, faites-vous envoyer un fax de confirmation de réservation avant votre départ.

Les prix varient selon la personne interrogée, dans une même journée. Vous pouvez essayer de négocier.

Les hôtels pour routards, ancien style, sont de moins en moins nombreux à Athènes. On les trouve principalement dans le quartier de la gare, autour de la place Omonia (quartier « chaud »).


Hôtels entre Omonia et les gares


C'est le quartier où l'on trouve les hôtels les moins chers d'Athènes. Certains sont très rudimentaires et mal entretenus. Une règle : toujours demander à voir les chambres pour éviter les mauvaises surprises.


Hôtels dans le quartier d'Omonia


Omonia n'est pas le quartier le plus agréable d'Athènes. Certaines rues des environs, comme odos Ménandrou, ont un peu l'aspect d'une « cour des miracles » où l'on peut se sentir très loin de la Grèce antique... Junkies, dealers et policiers, donc une certaine animation... Il n'y a pas vraiment de danger à dormir dans un des hôtels du quartier. Reste que ce n'est pas le plus beau des spectacles qu'offre la ville...


Hôtels dans les environs d'Athènes


Si l'on veut éviter le centre d'Athènes, il existe un certain nombre de possibilités dans un rayon de 20 à 30 km autour de la ville. Avec les nouveaux transports en commun, certaines de ces adresses deviennent beaucoup plus proches qu'auparavant. On regardera du côté du Pirée (le port d'Athènes) et de Rafina (à 28 km à l'est de la capitale).


Camping

Pas de camping central à Athènes. Il en existe 3 dans les environs, et quelques autres en Attique, plus éloignés : à Rafina, vers Marathon (Ramnous Camping), et vers le cap Sounion (le camping Bacchus).



Sécurité

Athènes est globalement une ville assez sûre, et les seules mesures de sécurité que nous vous conseillons sont valables dans la plupart des grandes métropoles européennes. Faites attention aux pickpockets qui sévissent dans les lieux touristiques, particulièrement sur les trois grandes places de la ville, au port et à l’Acropole. Ne laissez pas d’objets de valeur dans votre voiture. Faites attention à certains hôtels peu chers autour de la gare où la sécurité n’est pas forcément assurée.




Activités Athènes



Fêtes, festivals et manifestations
Fêtes nationales

Les Grecs ont deux fêtes nationales pour deux évènements cruciaux de leur histoire.

- Le 25 mars : commémoration de la révolution de 1821 qui libéra la Grèce de l'occupant turc.

- Le 28 octobre : célèbre le refus de l'ultimatum italien en 1940.

Ces deux fêtes sont l’occasion de grands défilés.


Fêtes religieuses


- La Semaine sainte : elle est traditionnellement plus importante que Noël en Grèce.

- La Pâque grecque (to Paskha) : les musées ou autres sites touristiques sont fermés ou fonctionnent au ralenti du jeudi de la Semaine sainte au lundi de Pâques inclus. Les hôtels sont pris d'assaut et pratiquent bien souvent des tarifs très élevés. Les grands moments religieux de cette semaine sont, le vendredi soir, la procession de l'épitafios (symbolisant le linceul du Christ), la messe du samedi soir qui se termine aux cris de Christos Anesti (« Christ est ressuscité ») et qui est suivie d'un repas commençant par la mayiritsa, une soupe d'abats d'agneau et d'œufs battus, et enfin le repas dominical avec agneau à la broche pour tout le monde.

- Le lundi de Pentecôte orthodoxe : 50 jours après Pâques.

- Le jeudi de l'Ascension : grande fête religieuse.

- Le 15 août : l'autre grande célébration religieuse après Pâques. On parle de la Dormition (en grec, Kimissis) de la Vierge, et non de l'Assomption.
Karaghiozis


Si vous tombez, par chance, sur un spectacle de théâtre d’ombres, appelé Karaghiozis (Yeux noirs) du nom de son (anti-)héros, ne rebroussez pas chemin, même si vous ne comprenez pas deux mots de grec.

Ce spectacle populaire est né en Chine, dit-on, et a traversé toute l’Asie jusqu’en Turquie, où les Grecs se le sont approprié.

Les figurines articulées (en peau de veau transparent) sont animées par un « montreur d’ombres » qui les fait bouger devant un écran blanc éclairé (les spectacles sont le plus souvent nocturnes).

  Karaghiozis est un Grec toujours affamé, vivant misérablement dans sa cahute, avec une ribambelle de gamins turbulents alors que le pacha (turc évidemment) a un sérail luxueux. Heureusement, il est ingénieux et a un grand bras qui lui permet de se défendre.

À classer dans les chefs-d'œuvre en péril, malheureusement. Même si ce spectacle fait profondément partie de la culture grecque et réjouit les adultes tout autant que les enfants, les autorités culturelles n'ont rien fait pour le sauver.

Il existe encore quelques professionnels ambulants ainsi que quelques lieux athéniens, sans parler du musée qui lui est consacré à Maroussi.



Musées


Le musée Bénaki d'art islamique


Installé dans un ancien hôtel particulier ayant appartenu à Antonis Benaki, un riche Cairote d'origine grecque qui passa sa vie à collectionner les œuvres d'art, ce musée propose un vaste panorama de l'hellénisme depuis l'âge du bronze jusqu'à la Grèce contemporaine.

- Au rez-de-chaussée, on peut voir des armes en bronze, des bijoux, de la poterie « géométrique », de délicats petits bronzes, des casques rares de la période archaïque (VIe siècle av. J.-C.), des figurines de terre cuite, de remarquables bijoux en or (IIIe siècle av. J.-C.), notamment les couronnes de laurier, et des ceintures. Admirables tissus coptes. Peignes en ivoire, peintures funéraires du Fayoum, meubles sculptés, icônes, très belle porte sculptée de sanctuaire venant d'Épire et figurant l'Annonciation.

- La nouvelle aile abrite les œuvres de la période chrétienne et byzantine, dont une mosaïque représentant la Vierge (seul fragment sauvé des décorations murales d'un monastère de Constantinople) datant du Xe siècle, et deux icônes du Gréco.

- Le 1er étage est essentiellement consacré à la Grèce sous l'occupation turque ou vénitienne. Nombreux vêtements, dont un étonnant tissu brodé de Rhodes. Deux salles de réceptions provenant de maisons seigneuriales de Kozani en Macédoine et datant du XVIIIe siècle ont été reconstituées. Nombreuses aquarelles représentant des vues d'Athènes par des artistes étrangers.

- Les 2e et 3e étages sont consacrés à la Grèce soulevée contre les Turcs, puis devenue indépendante. Nombreux objets ayant appartenu à des combattants, dont la lunette de Laskarina Bouboulina, Enfin, les 2e et 3e étages sont l'héroïne de Spetsès, qu'elle utilisa sur son bateau, l'Agamemnon, pendant le siège de Nauplie en 1822-1823. Photo de Vénizélos avec un général français en 1918. Des documents concernant de grandes figures de la littérature grecque contemporaine (Séféris, Elytis) complètent le panorama.

Internet : www.benaki.gr.



Le Musée archéologique national


Impossible, évidemment, de donner une vision exhaustive des richesses de ce musée (11 690 pièces exposées) : on vous conseille, si vous voulez le visiter dans une perspective chronologique, de commencer par les trois salles situées face à l'entrée, puis de revenir dans l'entrée et faire le tour du musée dans le sens des aiguilles d'une montre, quand on regarde le plan des salles.
On y trouve des masques dont celui d'Agamemnon, des poteries attiques et mycéniennes, des pièces des périodes néolithiques et de la civilisation cycladique, des statues de dieux datant de la période classique, des monuments funéraires, des bronzes, mais aussi des œuvres de la période hellénistique, des collections égyptiennes et une pièce consacrée aux fresques découvertes à Akrotiri, à Santorin.



Le musée des Cyclades et de l'Art grec ancien


Abrité dans un très bel édifice de verre et de marbre blanc, ce remarquable musée se consacre à l’art dans l’archipel des Cyclades (IVe et IIIe millénaire avant J.-C.). C'est un indispensable complément au musée Bénaki.

Le rez-de-chaussée dresse une introduction à l'art cycladique au IIIe millénaire av. J.-C.
Puis le 1er étage dévoile une collection superbement mise en valeur de 230 œuvres. Les sculptures des Cyclades (Syros, Amorgos et les Petites Cyclades), appelées « idoles », présentent des formes modernes étonnantes. L’une d’elles mesure 1,40 m de haut. On distingue trois périodes : les figures dites « schématiques » (corps humain au modelé très rudimentaire), les figurines féminines en forme de « violon », et enfin, les plus mystérieuses, celles dites « type de Plastiras ».
On peut aussi voir de nombreuses poteries et lames en bronze, des plats et de la vaisselle étonnamment design. Voir en particulier l’étonnante pièce en marbre, d'un seul bloc, comportant une rangée de pigeons.
Le 2e étage est consacré à l’art grec ancien. Bas-reliefs figurant des banquets, verrerie phénicienne (IIIe siècle av. J.-C.), ravissants tanagras, vaisselle de table en bronze d'Askos (IIe siècle av. J.-C.), amphores et cratères décorés, objets en bronze du Luristan, etc.
Le 3e étage abrite une collection numismatique ou des expositions temporaires, et le quatrième étage la collection Politis avec terres cuites, poteries, figures, kylix (calice) en bronze, armes et casques, cratères joliment décorés. C'est intéressant, mais ces étages soutiennent difficilement la comparaison avec le 1er.

Internet : www.cycladic-m.gr.



Plages

( Le gars que j'ai rencontré hier soir, m'a indiqué une plage à 20 mn en métro qu'il faut absolument voir, à cause de pour la couleur de l'eau d'un bleu unique. Je vérifierai ça sur un forum. )



Les plages aménagées sont payantes pour la plupart (4 à 5 € minimum), bondées et, en prime, embouteillages à prévoir... Si vous êtes tenté, rendez-vous sur la côte au sud du Pirée, à Voula, Vouliagméni (bus au départ de Syndagma) ou Varkiza (quelques criques sympas, appelées Limaniakia).

Plus haut, à Elliniko, le maire a fait une grève de la faim au printemps 2007 pour obtenir que des plages de sa ville soient rendues au public. Il a obtenu gain de cause.

Sur la côte est de l'Attique, vous pouvez essayer du côté de Loutsa, près de Rafina, ou de Schinias, près de Marathon.

  La plage de Schinias, appelée aussi plage de Marathon, bordée de pins, vaut le coup si l'on aime la planche à voile ou si on plante la tente au camping Ramnous qui n'est pas mal et pas si loin de l'aéroport.



Shopping
  (pour Maty, lol!)


Parmi les objets d'artisanat, on trouvera des tapis, des sacs tissés à la main, des poteries et des céramiques, des étoffes, etc. Ramenez un komboloï, une sorte de chapelet que l'on égrène pour s'occuper les doigts et qui est peut-être le plus vieux gadget au monde.

Bien entendu, avec 140 millions d’oliviers en Grèce, on vous incite aussi à ramener de l’huile d'olive. N’oubliez pas non plus, dans les spécialités gastronomiques, le miel de thym et l’ouzo, un alcool proche du pastis.

À Athènes, on trouve aussi de nombreux marchands d'antiquités (plus ou moins récentes) et de souvenirs divers dans Plaka.


En règle générale, les souvenirs sont relativement chers à Athènes car ils sont fabriqués principalement pour les touristes. Il faut faire attention aux prix affichés dans certains magasins, car ils changent parfois à la caisse.

Même si vous possédez quelques rudiments d'anglais, parlez en français aux commerçants. On pourrait vous prendre pour un Américain... Et une telle confusion se révélerait très néfaste pour votre portefeuille. ( j'en ai eu confirmation, c'est VRAI! )

Enfin, n'hésitez pas à marchander.



Vie nocturne


En raison peut-être de leur expérience touristique, les principales villes grecques, et tout particulièrement Athènes, disposent d'une infrastructure importante et très complète pour ce qui est de la vie nocturne.


Les discothèques


Les discothèques connaissent les ambiances les plus cool qui soient.

  Les orchestres de danse traditionnelle

font vivre intensément les tavernes jusqu'à l'aube, et les fêtes et festivals en tous genres prolifèrent.


Dans les discothèques, les consommations sont servies à des tarifs un rien moins élevés qu'en France.

Parfois, on interdit l'entrée des boîtes de nuit aux garçons « non accompagnés ».


Les tavernes


Certaines tavernes, qu'on appelle bouzoukia, sont des lieux où l'on danse, chante, boit, et casse des assiettes (« coutume » grecque qui, malheureusement, coûte de plus en plus cher).

La plupart n'ont plus grand-chose d'authentique. Souvent, on vous imposera de commander une assiette de fruits pour avoir droit à quelques gouttes d'ouzo dans un dé à coudre. L'idéal est, bien sûr, de vous faire accompagner par un ami grec qui vous mènera dans les vieilles tavernes fréquentées par les Grecs.



Où danser à Athènes ?


En été, la plupart des boîtes athéniennes se déplacent en bord de mer, vers Glyfada, entre Alimos et Voula.

Le week-end, compter environ 15 € l'entrée (donnant droit à une boisson).

Moins cher en semaine, mais plus cher quand les guest DJs qui officient sont de grosses pointures.

La plupart des discos font aussi resto.

On peut se rendre du centre d'Athènes à Glyfada en tramway (et rentrer par le même moyen de transport puisque le tram fonctionne 24 h/24).

  La ligne Athènes-Glyfada a été prolongée jusqu'à Voula.

  Dans le centre, signalons tout de même le Lava Bore (25 odos Filleninon ouvert de 22 h à 5 h).




On en parle sur le forum Grèce



pendant l'hiver soit de novembre à mars, les musées et tous les sites archéologiques sont gratuits TOUS les dimanches.



Il y a 3 Musées extra à Athènes,

  le premier le National évidemment

Le nouveau musée de l'Acropole

Et le musée Benaki est aussi un plus...



"jours minimums",  sur Athènes il y a de nombreuses choses à voir !


L' Acropole
Le Musée de l' Acropole
Le musée National ( superbe )
Le parc national sur la droite du parlement
La relève des evzones à la tombe du soldat inconnu
Le musée BENAKI,
Les danses folkloriques à Dora Stratou ( Filopapou )
Le mont Likabeth
Les Halles centrales etc....
Avenue EOLOU, et puis des ballades dans PLaka et aux antiquités ...
Rue Adrianou, la Bibliothèque d' Adrien, la tour des vents
L' Agora et son musée en bas de l' Acropole
Le Théâtre s' Herode Attikus...

Vous pouvez aller passer une journée au Pirée ( par métro et retour )


Tout ceci au total 3 à 4 jours, en flanant aussi Avenue ATHINAS, et aussi dans les vieilles rues d' Athènes... il y règne une athmosphère particulière...





  Cuisine et boissons Athènes



Où manger à Athènes ?


Le choix est tel qu'il est même difficile de s'y retrouver.

  On trouve de nombreuses tavernès, psistariès (restos spécialisés dans les grillades) ou mézédopolia (spécialisés dans les mezze dont on peut faire un repas complet) qui ont comme point commun d'offrir de la nourriture grecque.

Il est évidemment possible de manger sur le pouce un gyros ou un kebab. Vous en trouverez dans de nombreux endroits (par exemple autour de la place Exarchia).

  Si vous préférez acheter de quoi vous préparer un repas, il existe plusieurs supermarchés, pas dans l'hyper-centre touristique mais à proximité.

Quelques commerces de détail dans Plaka, mais plus chers.

  Les bonnes boulangeries existent aussi, par exemple sous l'Acropole.

Tout au long de la côte d'Apollon, qui s'étend du sud du Pirée au cap Sounion, d'innombrables tavernes et restos, généralement spécialisés dans le poisson.

Attention, dans les restos, les cartes de paiement sont le plus souvent refusées.



Spécialités gastronomiques


KALI OREKSI = bon séjour

Les Grecs, dans leur majorité, ne vont pas au restaurant dans un but gastronomique, mais pour s'y sentir bien et passer un bon moment.

Le standing est donc une notion qui ne s'applique pas vraiment aux restos grecs. Ce qui compte, c'est que l'on mange bien, bon marché et plutôt copieusement, ce qui est le cas dans la plupart des tavernes. Notez que la cuisine grecque connaît une forte influence orientale.

Entrées

- Féta : le plus célèbre fromage grec (le mot signifie « tranche »).

- Salade grecque (khoriatiki) : littéralement, « salade paysanne », à base de tomates, concombre, poivron vert, olives et féta, sans oublier l'oignon, avec plus ou moins d'huile d'olive. L'entrée presque incontournable qui reste bon marché, et dans laquelle on pioche à plusieurs.

- Mélitzanosalata : salade d'aubergines.

- Tzatziki : yaourt, concombre et ail pilé avec de l'huile d'olive et de la menthe.

- Poulpe (khtapodhi) : se mange sous diverses formes, par exemple en amuse-gueule (mezze), froid et vinaigré (xydato), chaud, cuit sur le gril (psito), etc. On trouve, mais assez rarement, des boulettes dans lesquelles le poulpe remplace la viande (khtapodokeftédès).

- Calamars (kalamaria) : ne constituent pas non plus un plat de résistance à part entière, mais les portions sont généralement plus copieuses que celles du poulpe et moins chères. Contrairement au poulpe, ils sont désormais le plus souvent congelés.


Plats cuisinés


- La moussaka : le plus célèbre des plats grecs. Viande hachée disposée en couches avec des aubergines, le tout recouvert d'une béchamel. On y ajoute parfois des pommes de terre et on la trouve parfois servie dans une terrine.

- Pastitsio : dans la recette de la moussaka, on remplace les aubergines par des macaronis. Assez bourratif.

- Mélitzanès papoutsakia : aubergines farcies à la viande et gratinées.

- Kolokithia tiganita : courgettes coupées en petites tranches et frites.

- Domatés ou pipériés (yémista) : tomate et/ou poivron farcis au riz.

- Dolmadès (feuilles de vigne farcies) : en conserve, c'est une entrée froide. Beaucoup plus rarement, on tombe sur des feuilles de vigne plus grosses, chaudes, farcies à la viande hachée et recouvertes d'une sauce citronnée aux œufs (avgholémono).

- Rhorta : herbes cuites de la montagne. Parfois proposées sous le nom de vlita. C'est un légume qui s'apparente à nos cardes.


Viandes


- Le souvlaki : un autre plat grec particulièrement célèbre et dont la réputation n'est plus à faire. Le plus souvent sous la forme d'une grande brochette de porc ou de bœuf.

- Brizola : côtelette de porc ou de bœuf.

- Païdakia : côtelette d'agneau.

- Bifteki : attention, faux ami ! C'est bien de la viande, sauf que ça ressemble au hamburger, en meilleur car souvent parfumé avec des herbes.

- Keftédès : boulettes à base de viande hachée, parfumées à la menthe et à l'origan. Le mode de cuisson est différent de celui du bifteki : les keftédès cuisent au four ou dans une casserole, tandis que le bifteki est un plat tis oras (à la minute) qui est préparé sur le gril.

- Kokoretsi : du foie et parfois des abats cuits à la broche.

- émincé de viande (lapin ou bœuf) aux oignons.

- Bekri mezze : le mezze du buveur ! De la viande de porc dans une sauce au vin.


Poissons et crustacés


Le poisson n'est pas bon marché, à l'exception du gavros, des gopès (variante des sardines), ou du kolios (maquereau). On trouve des soles, des rougets, des daurades, des mulets, de l’espadon (excellent en steak ou en brochettes), des bars (ou loups), des crevettes, des maquereaux, etc.
Malheureusement, le « vrai » poisson se fait rare : des poissons d'élevage, notamment les daurades grises (tsipourès) risquent de vous être proposés.

Assurez-vous de la fraîcheur des produits (notamment dans les lieux touristiques, pour les crevettes, calamars et pouples). Il doit d'ailleurs être spécifié sur le menu s'ils sont surgelés ou non.


Plats végétariens


En raison des restrictions observées par les orthodoxes, notamment au moment du Carême, les plats végétariens sont nombreux sur les cartes. Voici les plus courants.

- Briam : sorte de ratatouille (pommes de terre, courgettes, poivrons et tomates).

- Imam baïldi : un plat d'origine turque à base d’aubergines farcies, d'oignons, de tomates et d'herbes.

- Yémista (orphana) : lorsque la tomate et le poivron sont farcis mais sans viande, on les appelle avec humour orphana (les orphelins).



Pâtisseries


Les pâtisseries qu'on appelle « orientales » par chez nous sont présentes en Grèce, héritage turc oblige.

Le baklava et le kadaifi, tout deux particulièrement caloriques, sont aussi les plus communs.

Goûter aussi au rizogalo (riz au lait saupoudré de cannelle)

et au galaktobouréko (un feuilleté fourré d'une sorte de crème anglaise en plus compact),

ou encore le revani (ou ravani, un gâteau de semoule bien spongieux). Pas mauvais non plus, l'amigdaloto (pâte d'amandes et de sucre).



On trouve évidemment aussi tous les fruits méditerranéens :


pastèque (karpouzi), melon grec (péponi, avec l'intérieur vert), mais pas de figues.



Boissons


Retsina et autres vins

Les Français font souvent les dégoûtés à leur première gorgée de résiné (retsina). N'oubliez quand même pas que c'est le vin de table le plus typiquement grec (il trouve ses racines dans l’Antiquité) et le meilleur marché. Dans l’Antiquité, on enduisait de résine de pin les amphores afin d'en améliorer l'étanchéité. Le vin en prenait le goût. Et aujourd'hui, on a conservé cette habitude, en ajoutant au moût des morceaux de résine de pin d'Alep.

Pour les réfractaires, on trouve aussi à Athènes pas mal de vins non résinés. La Grèce est plutôt « jeune » en matière viticole, mais des progrès constants ont été accompli au cours des vingt dernières années, qui ont permis d'obtenir des vins de qualité, comme ceux du Péloponnèse ou de Macédoine. On trouve aussi des vins cuits très renommés comme le samos ou le mavrodaphni.

Ouzo  C'est le pastis local, pour aller vite. On l'obtient à partir du marc aromatisé à l'anis. Il se boit au verre ou en petite bouteille (karafaki), accompagné de mezze.

Ce nom d'ouzo vient des caisses que l'on expédiait à l'étranger avec l'inscription italienne uso (« à l'usage de ») suive du nom du destinataire.


Café


En Grèce, c’est le café turc qui est à l’honneur (avec le marc), même si on ne le nomme jamais tel quel. Évitez d'employer ce terme, vous risqueriez d'être mal vu. Si vous désirez du café comme il se fait en France, le mot utilisé là-bas est nescafé. Mais ça ne vaudra jamais un café turc.

Goûtez aussi le café glacé, très sucré et rafraîchissant, que l'on appelle nescafé frappé.




Vous venez d' avoir une liste de plats, soit faits maison, soit des tavernes etc....

Comment en très peu de temps gouter un maximum de cette cuisine variée :


Une adresse SCHOLARHIO Ouzerie Kouklis

C'est le restaurant de plats traditionnels typique d' Athènes.
L' adresse est 14, TRIPODON.

Quand vous êtes à Plaka, à partir de Monastiraki, vous prenez la ruelle des boutiques... et au premier carrefour, à droite, vous passez la petite place et tournez à gauche dans la rue Adrianou.
Continuez cette route, et ce sera sur votre droite environ 150 m plus loin, et cette taverne est un peu plus haut.

Le principe de cette taverne est simple :
Ils vous amènent un grand plateau avec un échantillon de 18, oui ... 18 plats différents typiques de la cuisine grecque.
Les prix annoncés seront boisson + pain + eau minérale + dessert inclus.

2 plats = 14 euros, 5 plats = 28 euros, 7 plats = 42 euros, et 10 plats = 56 euros, 12 plats = 70 euros, et 14 plats = 84 euros.
Une fois les plats choisis, il reviennent avec l' équivalent chaud.
Ils font aussi de la bière grecque pression.

Ils amènent tous ces plats au milieu de la table et les gens mangent ...en se faisant passer les plats.
Les parts sont copieuses.
Si vous le pouvez montez à l' étage, c'est très bien décoré... il y a même des places en partie sur le balcon.

J' ai aussi eu un coup de coeur pour les tavernes à l' intérieur des Halles :
Il y a le PAPANDREOU, et aussi l' IPIROS , les deux ont une expo des plats préparés, vous choisissez et ils vous apportent à table.
Les parts sont très copieuses...avec poissons très frais ( halle à côté...!) et bcp de plats en sauce.

Avec ces 2 tavernes, vous avez un échantillon d' environ 70 % des plats typiques grecs.

Si vous voulez un plat de mézzés avec un ouzo, à partir de Monastiraki, vous rejoignez la rue Miaouli.

Un peu plus loin, il y a la taverne REBECCA.     
Un ouzo + mezzés , vous avez différentes tailles de plats de ces mézzés.
Les tables sont peintes à la main.
Les samedis , 3 papis viennent ( seulement hors haute saison ) avec leurs bouzoukis et s'installent à une table et chantent des vieux airs grecs...ambiance... car les gens chantent aussi...!

Ta Peristeria rue Patroou 5 dans le quartier Sintagma.
(en sortant du metro (place Sintagma) aller en face vers la gauche, c'est à 5-10 minutes). Il faut entrer et choisir ses plats dans la vitrine au fonds à gauche.
Pratiquement, il faudrait goûter à tout mais ce n'est pas possible en une fois. J'ai choisi les tomates farcies, les pommes de terre sautées et les aubergines. Si ce n'est pas comme dans les tabernes d'antan, ce n'est pas mal du tout et à un prix correct. La rezsina n'est pas au frais (dans le commerce acheter la Dionysos) et l'eau du robinet est très chlorée dans toute la ville




Transports Athènes

Transports urbains
Abonnements

En prévision des jeux Olympiques de 2004, les transports urbains d’Athènes ont fait peau neuve.

Les lignes de bus et de métro figurent sur le plan d'Athènes, très bien fait (index en trois langues, dont le français) distribué à l'office du tourisme.

  On peut se procurer à l'aéroport la Pocket Map des transports publics qui couvre tout Athènes
.

Il existe une carte mensuelle, (vendue 35 €, 18 € en tarif réduit en mai 2008), valable sur tous les transports en commun à Athènes SAUF sur les lignes de ou vers l'aéroport, intéressante pour un long séjour.

  Pour un séjour plus court, une carte hebdomadaire (10 €) est proposée.


On peut aussi acheter un billet à la journée (3 €), utilisable dans tous les transports en commun (valable 24 h à partir du moment où il est émis).

Attention, aucune de ces cartes ne peut être utilisée sur les lignes reliant l'aéroport à la ville, soumises à une tarification spéciale.
Métro (Ilektrikos)

Pendant des décennies, le métro athénien n'a eu qu'une seule ligne, longue de 25 km, entre Le Pirée et Kifissia, une banlieue résidentielle du nord-est.

Mais après des années de travaux, commencés en 1992 (et qui ont par ailleurs permis d'incroyables découvertes archéologiques), deux nouvelles lignes ont ouvert fin 1999. Elles ont changé la vie des Athéniens, qui ont découvert un moyen de transport rapide et d'une grande sécurité.

Très pratique, en particulier quand on va, depuis le centre d'Athènes, prendre un ferry pour les îles (malheureusement, sur la ligne 1 qui va au Pirée, on emprunte encore l'ancienne ligne qui n'a rien à voir avec les nouvelles, même si certaines rames climatisées ont été mises en service).

Tarif sur toutes les lignes (en janvier 2009) : 1 € l'unité pour 1 ou 2 zones de la ligne 1, par exemple pour aller du centre-ville au Pirée. Tarif réduit : 0,50 €.

Si on se rend à l'aéroport (ou pour tout trajet sur la ligne 3 au-delà de la station Ethniki Amyna), penser à acheter le ticket à 6 €. Les enfants de moins de 6 ans ne paient pas. Les tickets sont valables 90 mn.

La ligne 1 est ouverte de 5 h à 0 h 30,

les lignes 2 et 3 de 5 h 30 à minuit.

  Tél. : 185 (service d'information de l'OASA, l'Agence des transports publics à Athènes).

Internet www.ametro.gr.

AVERTISSEMENT : attention aux bandes organisées de pickpockets qui sévissent dans le métro, en particulier à Omonia et Monastiraki.


Bus et trolleys

La plupart des bus urbains gérés par l'ETHEL fonctionnent de 5 h à 23 h 30.

On les appelle les bus bleus (même si les bus les plus récents sont davantage blancs et ne comportent que quelques bandes bleues).

On achète les tickets dans les cabines jaunes, bleues ou blanches.Coût d'un ticket (en janvier 2009) : 1 €.

  Attention, les contrôles sont très fréquents !

Bon à savoir : le même ticket est valable 1 h 30 et peut être utilisé dans d'autres bus de la compagnie.

Internet : www.ethel.gr.



Il existe aussi une vingtaine de lignes de trolleybus, gérées par l'ILPAP
, fonctionnant aux mêmes heures (même prix). Les vieux trolleys soviétiques ont tous été remplacés par des véhicules beaucoup plus modernes.
Tramway

Un tramway a été mis en service en juillet 2004, avec deux lignes, l'une reliant le centre d'Athènes (départ léoforos Amalias, au sud du Jardin national) et Glyfada (sur la côte au sud du Pirée) ou Néo Faliro (quartier sud du Pirée), l'autre partant de Néo Faliro et longeant la côte pour rejoindre Glyfada et Voula.

Ce moyen de transport, qui fonctionne 24 h/24, n'a pas vraiment suscité l'adhésion populaire. Il faut dire qu'il est un peu lent.

On achète son ticket aux stations (pas de vente possible dans le tram). Prix du ticket : 1 €.

Compter dans les 45-50 mn pour Néo Faliro au départ de la place Syndagma, environ 1 h de Syndagma à Voula, et autour de 40 mn entre Néo Faliro et Voula.

Les lignes doivent être prochainement étendues : celle de Néo Faliro rejoindra Le Pirée en 2010.

Interner : www.tramsa.gr.
 


Voiture


Circuler dans Athènes n'est pas chose facile. La plupart des rues sont à sens unique et, en dehors des grands axes qui traversent la ville en passant par la place Syndagma, les rues sont plutôt étroites.

Pour le stationnement, c'est le système D. Nombreux parkings, même dans d'étroites rues de Plaka (où l'on doit parfois laisser ses clés, car les véhicules étant serrés le plus possible, il faut pouvoir dégager l'accès à la sortie d'une voiture garée au fond...), dans des cours où l'on entasse les véhicules (forfait à la demi-journée, tarifs de 7 à10 €, voire davantage) ou dans les parkings souterrains.

Il existe des parkings sous la place Klafthmonos, sous les marchés, à côté des halles (entrée par lodos Sokratous). Cher. Également deux parkings Polis Park, platia Kaningos et platia Egyptou (5 € pour 1 h, 16 € pour 24 h).

Attention au stationnement illégal, les contractuels sont nombreux ! Les plaques sont d'ailleurs enlevées pour être certain que les amendes (plus de 60 €) seront bien payées. Récupération au commissariat... le lendemain. Avoir, par précaution, une photocopie de la carte grise. Si le stationnement est particulièrement gênant (angle d'une rue), la fourrière intervient très rapidement !

Ne rien laisser d'apparent dans la voiture quand vous la quittez.


Taxi


On a rencontré des taxis honnêtes, même à Athènes. Cela dit, voici quelques tuyaux bien utiles à connaître.

Tout d'abord, la règle du jeu : les tarifs doivent être affichés (en grec et en anglais) sur le tableau de bord.

  Ces tarifs sont également consultables à l'aéroport. Ils indiquent, dans l'ordre (tarifs en 2008) : le coût de la prise en charge(1,05 €), celui du kilomètre (0,36 €, presque le double hors des limites de la cité), les surtaxes (départs de l'aéroport ou d'une gare routière ou portuaire), le tarif de nuit (environ le double du tarif diurne, de minuit à 5 h) et le supplément bagages (normalement ceux dépassant les 10 kg, mais on n'a évidemment pas de balance à disposition...).

Sans oublier le péage sur le trajet aéroport-centre-ville.


Malgré tout, le taxi reste beaucoup moins cher qu'en France. Quelques exemples de prix : 25 à 30 € pour un trajet aéroport-Athènes centre 9 à 12 € pour Le Pirée-Athènes centre. Pour une toute petite course en ville : 4 à 5 €.

Le chauffeur a le droit de prendre d'autres passagers allant dans la même direction. Cela ne signifie pas que le prix de la course va être divisé par le nombre de passagers : le chauffeur, lui, encaisse simplement davantage.

Les Grecs excellent dans ce sport national qu'est l'interception de taxi : aux carrefours, au niveau des feux, ils crient le nom du quartier où ils souhaitent se rendre et le chauffeur s'arrête... ou pas.

Si le compteur n'est pas branché, demandez au chauffeur de le mettre en route (Put the meter, please). Évidemment, ne jamais écouter les propos de chauffeurs malhonnêtes qui vous baratineraient en racontant que votre hôtel est complet ou mal situé... et qu'il en connaît un meilleur !



Un peu d’histoire Athènes


La naissance de la cité
Les origines


À l'origine, Athènes apparaissait comme une simple cité grecque comme les autres, ou presque, puisque la ville bénéficiait de la protection d'Athéna, fille du roi des Dieux de l’Olympe, Zeus. La mythologie raconte qu'Athéna et Poséidon, le dieu de la mer et frère de Zeus, s'étaient disputé la petite ville et que la déesse l'emporta en faisant jaillir sur l'Acropole (colline au centre de la ville) un olivier, considéré ensuite comme sacré. L’Acropole connut ainsi très tôt dans l’histoire d’Athènes une fonction religieuse de premier ordre.
Pendant la période mycénienne (1500-1200 avant J.-C.), on se souvient surtout du héros légendaire Thésée, célébrissime pour avoir vaincu le Minotaure. Athènes consituait le centre économique et administratif de la grande cité de l'Attique.


L'essor économique


Pendant plusieurs siècles, la ville, organisée sous un système monarchique primitif, ne connut pas de développement particulier. À partir du Ier millénaire avant J.-C., elle se forgea une solide réputation dans le commerce des céramiques, et consolida ses routes maritimes vers les autres villes de la région. Rapidement, l'agriculture prit de l'ampleur dans les échanges, et la population athénienne se mit à croître considérablement.


Les évolutions politiques


Deux siècles plus tard, comme dans la plupart des cités grecques, le régime évolua graduellement vers un pouvoir aristocratique, jusqu'à l'avènement de la démocratie athénienne (environ 650-500 avant J.-C.). C'est la naissance de la polis (cité) grecque, où l'aristocratie prend le pouvoir. La victoire sur les Perses, repoussés en 490 à Marathon puis battus à Salamine en 480, va auréoler Athènes d'un prestige considérable, l'exploitation de nouvelles mines d'argent au sud-est de l'Attique fournissant quant à elle le nerf de la guerre.


La démocratie athénienne
Le tournant


C’est en 630 avant J.-C. qu’Athènes prend une importance historique capitale. Un aristocrate appelé Cylon parvient à prendre l’Acropole et tente d’imposer la tyrannie à Athènes. Assiégé, il est rapidement contraint de s’enfuir en abandonnant ses partisans. Cet épisode sanglant est rapidement suivi de réformes dans la ville.
Un législateur appelé Dracon rédige les premières lois écrites, dont la sévérité est passée à la postérité sous l’adjectif « draconien ». Ces lois marquent le début d’une justice d’Etat et un premier pas vers la démocratie. Après les préceptes de Dracon viennent des réformes instituées par le sage Solon. Ce dernier effectue une certaine redistribution sociale et édite des lois qui bénéficient aux plus pauvres. Désormais, le peuple commence à avoir un droit de regard sur la politique : c’est l’avènement progressif de la démocratie.


Les premiers pas de la démocratie


C’est bien à Athènes qu’est née cette conception du pouvoir que l’on nomme démocratie. Grâce à Dracon et Solon, Athènes devient, au Ve siècle avant J.-C., une cité où les individus sont gouvernés par un cortège d’élus, et non plus par un monarque dont le pouvoir se fait par filiation. La justice n’est plus arbitraire mais elle est inscrite dans la loi.
Athènes se dote rapidement d’une monnaie, améliore son commerce, notamment de céramiques, et consolide son pouvoir politique. Solon reste, pour la postérité, l’inventeur de la Constitution.
 


Tyrannie et grandeur


Le tournant démocratique de la politique athénienne est stoppé en 561 avant J.-C. par l’arrivée de Pisistrate au pouvoir. Soutenu par le peuple, il instaure une tyrannie qui, étrangement, se révèlera plutôt raisonnable. Pisistrate ne change pas les institutions de la polis, mais poursuit au contraire la conception démocratique de Solon.
Il favorise par ailleurs les arts et les lettres, et offre à Athènes sa première grande période de rayonnement culturel. Cette période est également marquée par de grands changements architecturaux dans la ville : les palais sont embellis tandis que l’Acropole devient officiellement un grand temple en hommage à Athéna.


Les institutions


Après la chute de la tyrannie, la démocratie athénienne va s’établir pour de bon grâce à Clisthène, qui décide d’une totale réorganisation politique de la ville. Athènes se retrouve divisée en de multiples circonscriptions, et les citoyens sont répartis en dix tribus élisant chacune des conseillers siégeant au conseil des Cinq-Cents qui fait les lois, tandis qu’un conseil restreint de 10 archontes se charge de les faire exécuter. Cette séparation des pouvoirs est le symbole de la démocratie athénienne et empêche, par le vote des citoyens, le retour de la tyrannie.


Le rayonnement d’Athènes
Les guerres médiques


Ce changement extraordinaire dans la politique athénienne va être accompagné d’un rayonnement politique et culturel sur toute la Méditerranée orientale, favorisé par différents facteurs extérieurs. En 490 avant J.-C., pour s’opposer à l’avancée de Darius, roi des Perses, les armées athéniennes déclenchent la première guerre médique. Le choc a lieu sur le territoire grec, à Marathon, et les Athéniens parviennent à faire fuir l’envahisseur.
D’après la légende, un soldat fut chargé de porter la bonne nouvelle à la population inquiète d’Athènes et, ayant parcouru les 42,195 km qui séparaient les deux villes avec trop de hâte, il mourut d’épuisement à Athènes juste après avoir annoncé la victoire. Cet épisode donne lieu aujourd’hui à l’épreuve du marathon.


L’alliance

Les Perses décident de prendre leur revanche dix ans plus tard. Cette fois-ci, Athènes organise avec différentes petites villes une véritable alliance de guerre. L’armée grecque décide d’abandonner la ville aux envahisseurs pour mieux les surprendre en pleine mer. Les Perses dévastent la cité et détruisent presque entièrement les temples de l’Acropole, mais sont définitivement battus à Salamine à l'occasion d'une bataille navale mémorable.
Jouissant d’un prestige considérable et désormais débarrassés de toute menace extérieure, les Athéniens deviennent maîtres d’une grande confédération et se consacrent pleinement au rayonnement de leur cité.


Le siècle de Périclès


La plus glorieuse époque d’Athènes, appelée « siècle de Périclès », s’étale en fait sur une cinquantaine d’années, de 480 avant J.-C. à 430 avant J.-C. environ. Périclès est l’un des aristocrates élus qui dirige la cité pendant cette période. Au cours de ses mandats, il assure le fonctionnement des institutions démocratiques et la répartition des richesses, offre du travail à tout le monde et favorise le développement culturel et intellectuel de la cité.
Ce demi-siècle est à juste titre considéré comme le zénith du rayonnement d’Athènes. La ville bénéficie d’une démocratie directe, non parlementaire, avec un fonctionnement particulièrement évolué. Une véritable séparation des pouvoirs y est exercée, même si les institutions démocratiques souffrent de disfonctionnements en faveur des plus riches.
Environ 150 000 habitants vivent alors dans la cité, laquelle attire des artistes, des mathématiciens et des philosophes de tout le monde antique. Périclès fait reconstruire totalement les temples de l'Acropole par Phidias, le plus grand sculpteur de l'Antiquité. Celui-ci se consacre notamment à la construction du plus glorieux et du plus abouti des monuments de la colline : le Parthénon, grand temple dédié à Athéna.


Le déclin de la ville
La chute de l’alliance


Les Athéniens vont pêcher par orgueil : organisateurs d'une confédération basée sur l’île de Délos dans les Cyclades, ils sont accusés de conserver le trésor de guerre que les autres cités avaient constitué pour affronter les Perses afin de financer, pour eux-mêmes, des expéditions militaires dans une vaste politique impérialiste en Méditerranée orientale.
Ce « vol » provoque la colère des autres cités, notamment Corinthe et surtout Sparte, la grande rivale d’Athènes et la seule cité dotée d’une puissance militaire au moins comparable à cette dernière. Organisées en ligue, les anciennes cités alliées à Athènes se révoltent et Sparte déclenche les hostilités en 431 avant J.-C.


La guerre du Péloponnèse


Cette guerre dite du Péloponnèse va embraser toute la région pendant une trentaine d’années. Avec la mort de Périclès, les épidémies de peste, la famine et l’épuisement du trésor, Athènes s’affaiblit considérablement. Malgré quelques succès et une paix temporaire, la ville doit se rendre en 404 avant J.-C. devant Sparte.

Sa grande rivale entre triomphalement dans la ville, fait détruire la flotte athénienne, abat les murailles et rend leur indépendance aux colonies. Jamais Athènes ne retrouvera son importance politique.



La chute de la démocratie


Les Spartiates vont imposer à Athènes la dictature de trente tyrans choisis avec soin, communément appelé les Trente. Ce régime sévère va durer un peu plus d’un an, après quoi la démocratie est de nouveau rétablie, mais sans le prestige de celle de Périclès.

Athènes retrouve en un siècle une certaine vitalité, mais Sparte reste la plus puissante cité de la région. Après l’avènement et le triomphe de Philippe de Macédoine sur les cités grecques, Athènes doit docilement se rallier aux autres cités dans la ligue de Corinthe, contrôlée par ce dernier.

Afin de contrôler le pouvoir, la puissante Macédoine impose à Athènes la présence constante d’une garnison lui appartenant dans la ville.

  La démocratie n’est donc plus qu’une illusion. Athènes conserve tout de même un certain prestige intellectuel, et continue d’être le centre de la pensée philosophique du monde antique.


Athènes romaine


En 168 avant J.-C., Rome sort vainqueur de la guerre contre la Macédoine et s’empare en un siècle de son empire, dont fait désormais partie Athènes au même titre que d’autres illustres cités telles Sparte ou Corinthe.

La ville tire profit de cette passation de pouvoirs. Les empereurs romains la considèrent toujours comme le berceau de la démocratie et de la philosophie, et lui assurent certains privilèges au sein de l’Empire, faisant d’elle une véritable capitale culturelle.

Son prestige reste grand, même si son influence politique ou économique est désormais réduite au strict minimum. Athènes restera un symbole culturel jusqu’à la chute de l’Empire romain et la fermeture de son université, décidée au VIe siècle de notre ère.



Du Moyen Age au XIXe siècle
Les invasions barbares


Après la mémorable période antique, Athènes est reléguée au second plan et rattachée à l’Empire romain d’Orient dont la capitale est Byzance (aujourd’hui Istanbul). Elle subit à plusieurs reprises des invasions de divers armées barbares, qui pillent en partie son patrimoine architectural et artistique.


Une ville convoitée


La ville subit entre le IXe et le XVe siècle un double mouvement. Alors qu’elle semble avoir perdu irrémédiablement son prestige économique et que bon nombre de ses habitants la fuient petit à petit, elle devient inversement une cible de choix pour les conquérants occidentaux.

Les Francs, sur la route des croisades, s'en emparent au début du XIIIe siècle. Puis c'est au tour des Catalans et des Florentins de se disputer cet emplacement stratégique en mer Égée. Tous veulent profiter des structures de la ville, notamment de l’Acropole qui apparaît comme une citadelle idéale.

En 1456, trois ans après la prise de Constantinople, les Ottomans parviennent à prendre le contrôle de la ville. Le Parthénon, transformé en temple de la Vierge à l'époque byzantine, devient une mosquée. L’Acropole est également transformé en forteresse, avec un entrepôt de poudre et un harem.


Athènes dévastée


La domination ottomane sur Athènes, et sur la Grèce en général, va durer jusqu’à la fin du XVIIe siècle. Les Vénitiens, désireux de vaincre une fois pour toute les Ottomans, assiègent la ville en 1687.

Victime de bombardements intensifs, Athènes n’est plus qu’un grand champ de ruines. Les Ottomans se réfugient dans le Parthénon, réputé imprenable, mais les Vénitiens bombardent la colline, tuant les occupants. Ils atteignent malheureusement l’entrepôt de poudre, ce qui a pour effet de faire exploser les temples de la colline, détruisant la plupart des vestiges antiques comme le Parthénon.

Le pillage de ce site est total au tout début du XIXe siècle, lorsque l’ambassadeur britannique de Constantinople, Lord Elgin, décide de ramener à Londres la plupart des trésors archéologique du Parthénon, notamment les célèbres frises.

Dans les années 1820-1830, le jeune État grec acquiert son indépendance et c'est Nauplie (dans le Péloponnèse) qui est choisie comme capitale, et non Athènes, trop délabrée. Celle-ci n'est alors plus peuplée que par 4 000 à 5 000 habitants.


Le renouveau d’Athènes
Reconstruction


À partir du début du XIXe siècle, Athènes va retrouver petit à petit une certaine importance. Pour accueillir Othon Ier, le nouveau roi arrivé de Bavière, il faut construire une nouvelle Athènes. Des architectes européens, souvent allemands, débarquent afin d’édifier la nouvelle capitale et modèlent un centre néo-classique presque géométrique (organisé autour de l’Acropole et des places Syndagma et Omonia).

La ville s’étend progressivement dans l'Attique et attire à nouveau les habitants, notamment après 1922, quand les réfugiés d'Asie arrivent en masse : la ville, qui comptait 450 000 habitants, en reçoit 150 000 supplémentaires. Athènes est définitivement redevenue une mégalopole.


Les premiers Jeux olympiques


En 1892, le baron Pierre de Coubertin décida de remettre au goût du jour les épreuves sportives disputées dans l’Antiquité à Olympie. Ces « Jeux olympiques » sont le résultat d’un patient travail de ce Français. Pour la première édition en 1896, on choisit Athènes, et un magnifique stade en marbre en forme de U est construit pour l'occasion. Pour l

mati258 profile picture mati258January 2010

Salut à tous!

Promis je garde tout projet de gastro pour après le voyage, je ne voudrais pas manquer à ma mission de représentation )

Pour ma part j'ai booké une chambre de 4 :

Date Room Details Price Guests Total
25th Feb '10 4 Bed Mixed Dorm Ensuite €20.00 1 €20.00
26th Feb '10 4 Bed Mixed Dorm Ensuite €20.00 1 €20.00
27th Feb '10 4 Bed Mixed Dorm Ensuite €20.00 1 €20.00
28th Feb '10 4 Bed Mixed Dorm Ensuite €19.00 1 €19.00
Total:  €79.00
10% Deposit (€7.90) will be billed in EUR:  €7.90
Service Charge:  €1.50
Charge on Card (Service Charge + Deposit):  €9.40

Et merci Guillaume pour les infos!

Bises

Mathilde

stayats profile picture stayatsJanuary 2010

Merci Guillaume pour tous ces renseignements (livre et lien sur les secrets du Parthenon)

J'ai aussi imprimé une trentaine de pages sur Athènes dont certains renseignements pris sur des forums par des gens qui y sont allés. Mon imprimante a un petit problème, mais dès que je peux en faire un autre exemplaire, on pourra le faire circuler si ça interresse quelqu'un avant l'atterrissage, lol!

C'est vrai que ça fait pas b'zef de filles, croisons les doigts pour que miss Maty ne nous fasse pas une gastro, elle a la lourde responsabilité de représenter les parisiennes à Athènes.

a suivre....