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La bataille de Châtillon (fin)

• Après leur déjeuner, la mitrailleuse de droite avait été engagée par l’arrière, mais le groupe du major Farran avait essuyé le feu d’une autre mitrailleuse légère et s’était retiré à travers un jardin jusqu’à la rivière.

• Sur le chemin du retour, ce groupe avait essuyé le feu de deux mitrailleuses sur une longue crête.

• Le sergent Robinson avait été blessé et envoyé plus tard à l’hôpital du Maquis à Aignay-le-Duc.

• A 13h00, tous les partis se replient sur la base de la Forêt de Châtillon, le maquis ne semblant pas disposé à apporter un soutien massif malgré la présence du Colonel Claude, armé jusqu’aux dents.

• Les combats avaient duré de 06h30 à 13h00.

• Les pertes des SAS étaient les suivantes : Holland tué, le sergent Robinson blessé à la jambe et le caporal Brownlee légèrement blessé.

• Deux jeeps avaient été endommagées mais avaient été réparées par la suite.

• Une estimation prudente des pertes ennemies était d’au moins 100 Allemands tués et un nombre considérable de blessés.

• Neuf camions, deux voitures et une moto avaient été détruits.

• Le corps du soldat Holland, qui avait été tué, avaient été retrouvé par les Allemands, et il avait été rapporté plus tard que cela les avait dissuadés de leur plan d’exécuter 50 otages en représailles à ce qu’ils avaient imaginé être un raid maquisard.

• La nuit suivant cette opération bien conçue et brillamment exécutée, l’escadron avait reçu un nouveau ravitaillement, comprenant deux jeeps et 52 conteneurs.

• Farran a écrit, dans son livre, que sept jeeps avaient été larguées, portant le total à 18, mais cela ne correspond ni aux archives de la RAF ni à ses propres calculs, mais je suis sûr qu’il en avait 14 à ce moment-là.

• Sept avec lesquels il était arrivé, trois avec lesquels Hibbert était arrivé, et les deux qui étaient arrivés plus tard.

• Avec les deux parachutés, cela fait 14.

• Pendant la matinée de combat à Châtillon, le lieutenant Carpendale n’était pas là car il avait été bloqué à Aisey, à environ 16 km vers Dijon.

• On ne sait pas exactement ce qui s’était passé, mais pendant la bataille de Châtillon, j’ai calculé que l’escadron combiné disposait de 12 jeeps, mais Farran n’en mentionne que 11 dans la ville et a dû se demander ce qui était arrivé à Carpendale.

• Il semble que Carpendale ait observé une colonne ennemie et se soit dirigé plus au sud pour lui tendre une embuscade sur la route de Dijon.

• Il y était arrivé trop tard et n’avait pu tirer que sur quatre voitures d’état-major, la queue de la colonne, à une distance de 450 mètres avant de pouvoir se mettre en position.

• Les voitures n’avaient été qu’endommagées et s’était arrêtées pendant 20 minutes à l’abri avant de repartir.

• Le lieutenant Carpendale avait ensuite attendu pendant 3 heures mais n’avait rien vu de plus.

• Le 31 août, un rapport avait été reçu selon lequel le caporal McIver et son groupe de quatre personnes avaient démoli quatre pylônes électriques dans la région de Chaumont.