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La bataille de Châtillon (4)

• Le cliquetis des fusils mitrailleurs Brens, le râle des fusils mitrailleurs Vickers, le gémissement des balles qui rebondissaient sur les murs, et en arrière-plan, le bruit des mortiers”.

• La jeep du major Farran, qu’il avait laissée à la charge du soldat Rhodes pendant qu’il dirigeait l’action, avait été utilisée par le lieutenant Mackie pour harceler la gauche tandis que sa propre jeep était employée sur la droite.

• Pendant ce temps, Farran avait pris un fusil mitrailleur Bren et l’a placé en équilibre sur un mur pour arroser la colonne allemande de balles traçantes rouges.

• A l’arrière du convoi, les Allemands étaient descendus et avaient commencé à tirer des bombes de mortier.

• Les balles sifflaient partout, et Farran était heureux de voir les balles traçantes toucher les Allemands, ajoutant au feu, que les Allemands avaient retourné, et pendant un certain temps un engagement féroce avait continué.

• Le soldat Holland avait été tué d’une balle dans la tête, et un brave civil français, André Bienamé, qui était lui-même blessé, l’avait traîné à l’intérieur.

• Les Allemands, qui avaient été attaqués au mortier dans le Château, avaient alors commencé à avancer le long de la rue en direction de Mitchell sur le carrefour de Chaumont.

• De violents combats de rue s’étaient développés, et les Allemands parviennent à tuer au mortier certains de leurs propres hommes.

• À 8 h 30, Mitchell avait envoyé un messager dire à Farran qu’un certain nombre d’Allemands se battaient dans la rue.

• Il avait envoyé Dayrell Morris et sa troupe pour renforcer la position au centre de la ville.

• Les fusils mitrailleurs Brens de Jamie Robertson tiraient vivement depuis l’arrière d’un bois au nord.

• Il avait été envoyé avec sa troupe sur un flanc pour harceler la zone de Châtillon avec des tirs au sol depuis la gauche.

• Farran avait eu le temps de remarquer qu’une jolie fille aux longs cheveux noirs et portant une robe rouge vif passait la tête par la fenêtre du haut et lui faisait le signe du ”V” avec ses doigts.

• Il considérait que son sourire rendait les balles ridicules.