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La bataille de Châtillon (2)

• Je crois que Claude avait bien l’intention de mener cette action car les Allemands étaient en train de relever le château de Châtillon.

• Le timing était donc essentiel et, bien qu’il y ait plus de 500 maquisards dans la région, la tâche logistique consistant à les mettre tous en position à l’aube du lendemain matin aurait été difficile.

• Ils étaient probablement dans ou autour d’Aignay-le-Duc, qui est à 18 miles de Châtillon.

• Combien de camions avaient-ils ?

• Se comprenaient-ils bien ?

• Si le lieutenant Pinci était présent, alors un malentendu était peu probable, mais il n’est mentionné ni dans les rapports des SAS ni dans le livre de Farran, The Winged Dagger.

• Je me demande si c’était le nombre maximum d’hommes qu’il pouvait déplacer à la fois.

• Sans incident, la troupe du lieutenant Mackie, composée de deux jeeps, était partie du camp, avait traversé l’aérodrome et a occupé le carrefour Montbard - Chatillon - Dijon, qui s’appelle la place Joffre.

• Aujourd’hui, l’aérodrome est un aéroclub et se situe au sud de la ville.

• La place Joffre se trouve également au sud du centre ville.

• Farran avait ensuite déplacé les neuf jeeps restantes de l’escadron, contenant 44 hommes, au-delà du carrefour tenu par Mackie et dans la ville, où ils avaient occupé tous les carrefours principaux menant à la place du marché.

• Pendant ce temps, le lieutenant Mackie place sa jeep au milieu du carrefour et envoie la jeep du sergent Vicker sur la route menant à Montbard, car cela semble être la ligne d’approche la plus probable de l’ennemi.

• Le Sergent Vickers avait pris avec lui le Caporal Riach, qui avait un mortier de 2 pouces pour fournir un soutien.

• Le sergent-major Mitchell, avec deux jeeps, occupait le carrefour Chaumont - Chatillon - Troyes, tandis que le Sergent Young coupait tous les fils téléphoniques militaires.