Emendata

DALF C1 (rendez-le plus soutenu ou élégant si possible, mercie)

• Avant d’atteindre nos assiettes, la production de produits carnés représente une source polluante considérable, ainsi qu’un gaspillage de ressources rares.

• Nous avons été avertis des dangers des « pets de vache », mais cela n’est que le sommet de l’iceberg.

• Chaque jour, millions des animaux ne doivent pas seulement boire et manger en abondance, mais aussi excréter de pestilentes tonnes de matières fécales.

• En effet, la culture de céréales pour l’élevage intensif représente une utilisation inefficace des ressources telles que l’eau et les terres arables, ainsi que l’une des principales raisons de la déforestation dans des pays en voie de développement.

• En outre, la mauvaise gestion des matières fécales continue de polluer la terre, l’air et l’eau ; tout cela sans parler du risque de pandémie qui en découle.

• Après tout, ce n’est pas à cause de trop manger de la salade qu’on a souffert, par exemple, la grippe aviaire et porcine ou plus récemment le COVID-19.

• En conclusion, passer à un régime végétalien « et part conséquence sauver la plante en devenant plus éthique et en bonne santé en passage » semblerait être trop peu de sacrifice pour un monde meilleur.

• Pourtant, hormis la proposition de l’ONU sur les Objectifs de développement durable (ODD), aucun homme politique n’a encore osé s’attaquer à une industrie aussi puissante au mettre en question les privilèges alimentaires des électeurs.

• Ironiquement, la solution la plus simple est peut-être celle à laquelle nous sommes le moins ouverts à considérer.