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Text från Engineergeek - Français

    • Les funérailles de Jim(1)

  • J’ai rencontré et sympathisé avec deux personnes qui avaient assisté à l’enterrement.
    • L’une était Daniel Rustaut, qui avait 11 ans à l’époque.
    • Il était ensuite devenu le maire de Varennes, un poste qu’il avait occupé pendant de nombreuses années.
  • Malheureusement, il était décédé en octobre 2019.
    • L’autre était une dame et bonne amie, Claude Pierre, qui vit à Damrémont depuis son mariage mais avait grandi à Vicq, un village situé entre Damrémont et Varennes.
    • Ceci est basé sur le récit de Claude, qui se souvient des événements survenus quelque 75 ans auparavant : Un jour de septembre 1944, M.
    • Delfin, le dentiste de Bourbonne-les-Bains, une petite ville thermale à l’extrémité sud de la région Champagne-Ardenne, était très surpris par l’arrivée de deux jeunes patients.
    • Il ne s’attendait pas à voir de patients car les Allemands se retiraient, la vie quotidienne peut devenir désagréable et les gens avaient peur.
    • Les deux jeunes filles de 14 ans, Claude et Gilberte, trop jeunes pour être conscientes de la situation, étaient parties à vélo de leur village de Vicq, à une quinzaine de kilomètres.
    • Lorsqu’ils étaient arrivés à Bourbonne, un habitant qui était dans son jardin les avez vus passer et, interloqué, leur avait demandé où ils allaient.
    • ”Chez le dentiste”, avaientt-elles répondu sans aucune hésitation ni inquiétude.
    • Le résident leur avait dit de ne pas prendre leurs vélos dans la ville mais de les laisser dans son garage car les envahisseurs cherchaient tous les moyens de transport possibles et se préparaient à partir dès que l’ordre serait donné en haut lieu.
    • Elles avaient eu beaucoup de chance de tomber sur ce brave homme, car dans la rue principale, elles avaient constaté que toutes les boutiques étaient fermées et les stores baissés.
  • Il n’y avait pas de civils, seulement des Allemands, avec des fusils et des grenades accrochés à des chaînes autour de la taille, errant d’une manière menaçante et dangereuse.
  • Mais les deux jeunes filles marchaient parmi eux sans appréhension.

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    • L’autre était une dame et bonne amie, Claude Pierre, qui vit à Damrémont depuis son mariage mais avait grandi à Vicq, un village situé entre Damrémont et Varennes.
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    • L’autre étaiest une dame et bonne amiamie proche, Claude Pierre, qui . Elle vit à Damrémont depuis son mariage mais avait grandi à Vicq, un village situé entre Damrémont et Varennes.
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    • Ceci est basé sur le récit de Claude, qui se souvient des événements survenus quelque 75 ans auparavant : Un jour de septembre 1944, M.
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    • Ceci qui va être évoqué est basé sur le récit de Claude, qui. Elle se souvienait des événements survenus quelques 75 ans auparavant :¶
      Un jour de septembre 1944, M.
      plus tôt.¶
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    • Delfin, le dentiste de Bourbonne-les-Bains, une petite ville thermale à l’extrémité sud de la région Champagne-Ardenne, était très surpris par l’arrivée de deux jeunes patients.
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    • Un jour de septembre, Monsieur Delfin, le dentiste de Bourbonne-les-Bains, une petite ville thermale à l’extrémité sud de la région Champagne-Ardennes, étaifut très surpris par l’arrivée de deux jeunes patientes.
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    • Il ne s’attendait pas à voir de patients car les Allemands se retiraient, la vie quotidienne peut devenir désagréable et les gens avaient peur.
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    • Il ne s’attendait pas à voir de patients car les Allemands sebattant en retiraiete et et se retirant , la vie quotidienne peuouvait devenir désagréable et les gens avaient peur.
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    • Les deux jeunes filles de 14 ans, Claude et Gilberte, trop jeunes pour être conscientes de la situation, étaient parties à vélo de leur village de Vicq, à une quinzaine de kilomètres.
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    • Les deux jeunes filles de 14 ans, Claude et Gilberte, trop jeunes pour être conscientes de la situation, étavaient parties à vélo de quitté leur village de Vicq, à une quinzaine de kilomètres.
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    • Lorsqu’ils étaient arrivés à Bourbonne, un habitant qui était dans son jardin les avez vus passer et, interloqué, leur avait demandé où ils allaient.
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    • Lorsqu’ilelles étaient arrivés à Bourbonne, un habitant, qui était dans son jardin, les avez vus passer et, interloqué, leur avait demandé où ilelles allaient.
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    • Le résident leur avait dit de ne pas prendre leurs vélos dans la ville mais de les laisser dans son garage car les envahisseurs cherchaient tous les moyens de transport possibles et se préparaient à partir dès que l’ordre serait donné en haut lieu.
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    • Le résident leur avait dit de ne pas prendre leurs vélos dans la ville mais de les laisser dans son garage car. Il leur avait expliqué que les envahisseurs cherchaient tous les moyens de transport possibles et se préparaient à partir dès que l’ordre serait donné en haut lieu.
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    • Elles avaient eu beaucoup de chance de tomber sur ce brave homme, car dans la rue principale, elles avaient constaté que toutes les boutiques étaient fermées et les stores baissés.
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    • Elles avaient eu beaucoup de chance de tomber sur ce brave homme, car d. Dans la rue principale, elles avaient constaté que toutes les boutiques étaient fermées et les stores baissés.
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    • Il n’y avait pas de civils, seulement des Allemands, avec des fusils et des grenades accrochés à des chaînes autour de la taille, errant d’une manière menaçante et dangereuse.
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