Corrections

Chère madame, cher monsieur, Je me permets par ce mail de partager mon opinion sur l’art moderne en réagir sur le débat publié sur votre site Cogito.

En effet, c’est un sujet assez actuel ainsi que pertinent, considérant la position dominante de l’art, en toutes ses formes, dans la société.

Quoi que ce soit : les galeries, les concerts, le théâtre – il nous intéresse ce qui nous dépasse et nous permet de sortir de la vie ordinaire.

Pourtant, je trouve que l’art a devenu un sujet délicat pour en discuter, comme la politique, puisque chacun un son propre avis, involontier de comprendre les uns qui diffèrent.

Il est vrai que l’art moderne a gravement évoluée pendant le siècle dernier.

Tandis que l’art classique a admiré les compétences du peintre et la beauté objective, l’art d’aujourd’hui cherche aux sentiments profonds de l’individu et ne se laisse pas comprendre.

Soit pendant le Baroque dans sa richesse et sa grandeur, soit pendant le Classicisme dans sa modestie, le peintre était un artiste ainsi que un artisan.

On a dû sacrifier toute sa vie pour devenir un maître.

De mon part, c’est pour ça que beaucoup de gens méprisent les œuvres modernes.

Des grandes sommes divisent les tableaux dans les galeries et les dessins d’un enfant, avec très peu de différence en habileté.

Une autre raison très possible pour la haîne générale envers l’art moderne, c’est la peur de pouvoir être jugé.

Comme l’art contemporain a devenu assez subjective, il est très difficile, même impossible de la comprendre.

Et si on ne comprend pas une chose si commun que les émotions d’un tableau, comment on peut se croire intéligent ?

Qu’est-ce que les autres vont se penser de nous ?

Je me demande, pour qui se prend cet artiste, s’il nous force ses ¨avis supérieurs ¨ .

Bien que l’art moderne n’est pas ce que je préfère et je partage partiellement l’avis de Yasmina Reza exposé dans son spectacle l’Art, je trouve qu’essayer de la comprendre vaut le coup.

Celui qui ne participe pas, ne peut rien gagner, même si c’était seulement le mépris, finalement légitime.