Corrections

Text from Nanten - Français

  • Chapitre 56. Des chemins séparés (le début)

  • J’ai essayé de traduire un chapitre de mon livre.
    • J’aimerais vraiment comprendre à quel point je me débrouille.
    • Il restait au portail ouvré et regardait s’enflammer la lumière froide d’aube hivernale au-dessus de la forêt.
    • Une tache floue du soleil, que samblait mat dans le brouillard des nuages, grimpait dans le ciel.
    • La cour de l’auberge derrière le dos du elfe était presque vide, seulement de temps en temps la neige cracquait sous un pied.
    • Le gel mordillait les bouts de ses oreilles.
    • Tarivile restait en admirant le lever du jour et se rendait compte de ce qu’il perdrait du temps.
    • Æete et Virlisse attendaient dans la salle... probablement, ils n’attendaient déjà que lui. Mais lui...
    • Il perdrait du temps.
    • Parce que – une décision fût prise.
    • Æete et Virlisse ne le voyaient jamais comme le véritable membre de l’équipe.
  • Comment Æete présanta ses compagnons à Lourie !
  • « Virlisse, mon adjoint...
  • Xirine, notre guide et cuisinière...
  • Et c’est Tarivile ». C’était tout.
  • Juste Tarivile. Un nul. Hier...
  • « Tarillon, sors ! » Sors !
  • À quoi ça sert d’aborder quelque chose avec toi ?..
    • Probabalement, il le mérita lui-même – par sa faiblesse.
    • Voici elle, la route de la Forêt-En-Or.
    • Elle était devant lui – si large, si alléchante – va !
  • Mais ils se dirigeaient vers le Royaume-Sous-Les-Montagnes.
  • S’il ne avait pas parlé à Lourie hier...
    • Quelle vulnérable et inexpérimentée, mais si forte !
  • Et hier il osa presque lui demander de connaître le destin d’Æliire...
  • Lourie ne la rechercherait pas.
    • Puisque ce n’était pas le problème de Lourie.
    • Elle avait assez les siens.
  • Et elle les résolvait malgré tout.
    • Peut-être, s’il faisait face à ses peurs et ses difficultés, cesserait-il de s’en prendre à tout le monde pour des détails ?
  • Hier, Lourielle l’appella une fille hystérique.
    • Était-ce qu’il se comporte vraiment comme ça?
    • En poussant un soupir, Tarivile se retourna et se dirigea à travers la cour vide vers l’auberge endormie.
  • L’aubergiste s’absentait au comptoir, il n’y avait que son assistante qui ne travaillait pas cette nuit.
    • En effectuant une commande, elle mit avec un sourire une parte de tarte à la viande dans l’assiette tendée par Tarivile et versa généreusemant du bouillon riche et fort dessus.
    • Tar jeta deux pièces de cuivre sur le comptoir et se dirigea vers la table où toute leur équipe, y compris Lourie, se réunit au déjeune.
    • Le nain portant une veste matelassée bleue s’asseyait là aussi – leur nouveau guide, comme Tarivile savait.
    • Le dwarf était animé et joyeux, mais silencieux.
    • Il examinait attentivement tous de ses fins yeux plissés, consommait lentement sa côtelette de venaison et ne cherchait ni à qui parler.
    • Æete et Virlisse finissaient leurs ragoûts de viande, Arielle s’asseyait déjà avec l’assiette vide, en sirotant un thé chaud aux herbes.
    • Lourielle fouillait nerveusement dans son poisson bouilli, en mélangeant la chair avec la salade, et ne mangeait presque pas.
  • « Tout ira bien, Lourie ».
    • Arielle mit bienveillallent la main sur son épaule.
  • « Ne t’inquiète pas ».
    • Un nuage d’agacement ou d’anxiété parcourut le visage de jeune fille, mais Lourielle ne dit rien.
    • « Ah, je sais ce que tu n’aime pas trop ta nouvelle guide, poussa un soupir “Xirine”.
    • Sinon, tu ne l’aurais pas quittée hier soir.
  • Laisse tomber ces bêtises !
    • Je lui ai parlé et vu tout ce qu’il faut.
    • Elle une simple femme sans prétentions.
  • Elle connaît ces parages.
    • Aujourd’hui, après le déjeune, vous prendrez la route et vous direz adieu dans un ou deux jours – elle t’amenara saine et sauve à Brine... c’est la dernière ville humaine, sur le tout bord de la Forêt-En-Or.
  • – Et après ? murmura Lourie sans lever ses yeux de l’assiette.
    • – Que sera après ?
    • Après, dans Brine, tu t’attacheras à une caravane et iras tranquillement plus loin – direct aux terres des elfs, cligna d’œil Arielle ».
    • Lourie s’asseyait comme une tuée.
    • On pouvait voir que elle était déprimée de la perspective d’aller deux jours en compagnie de la chasseuse – mais encore plus déprimée de l’inconnu qui obligeait à accepter la compagne antipathique.

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