Ispravci

Exercice : Projet. 2

• (Mme @Rua et Mme @catthefroggie, si vous lisez ceci, je veux spécialement vous remercier.

• Vos corrections m’aident beaucoup à progresser !) Au vu des développements précédents, notre recherche contribue à la réflexion des questions posées.

• Gardant à l’esprit que l’emploi de concepts tels que les émotions ou les sentiments à titre de synonymes peut contribuer à perpétuer l’obscurité de ce concept, nous estimons qu’il est important de les différencier au sein de la théorie de l’intelligence émotionnelle.

• Bien qu’à partir du texte « Intelligence Émotionnelle, imagination, cognition et personnalité », Salovey et Mayer théorisent à l’égard de cette notion, elle ne s’articule pas formellement.

• Notre réponse est non, pour diverses raisons et pour leur impact sur les différents domaines.

• Ensuite, parce que rétablir le débat de l’intelligence, comme au-delà de la réflexion et la pensée, permet reconsidérer l’importance de celle-ci dans le développement humain.

• Bien que depuis Salovey et Mayer nous sachions qu’il ne s’agit pas d’une hiérarchie de l’une sur l’autre, en y pensant au-delà de réflexion et la pensée, elle pourrait apparaître comme un processus qui s’articule dans la personnalité et qui montre une autre dynamique subjective.

• Enfin, comme chercheurs, nous avons la conviction que le savoir psychologique doit avoir un impact au-delà de la pratique clinique comme telle.

• Donc une contribution sur ce concept permettrait une meilleure compréhension de ce qui se passe dans des espaces sociaux et culturels, où les sujets souffrants de malaise peuvent converger, ces espaces qui sont pensés à partir d’une logique de la collectivité.

• Nous espérons, sur la base des principes de la santé mentale communautaire, que notre recherche contribuera à la création de ce type d’espaces où les expériences de sociabilité résultent positives.

• Partant de l’idée que les émotions sont étroitement liées à la personnalité (parce que s’il est possible d’éprouver une émotion c’est à partir de nos expériences) notre hypothèse c’est que les émotions appartiennent à un champ plus vaste, celui de l’expression affective, donc elle ne s’encadrerait pas seulement dans l’expression physique.

• D’ailleurs, étant donné que l’approche des émotions oblige à repenser l’intelligence, nous adhérons à la prémisse que celle-ci est différent d’un autre processus que celle de la raison, en considérant que concevoir l’intelligence comme synonyme de la raison comporte difficultés similaires à celles rencontrées par les représentants de la Théorie logique lorsqu’ils parlaient de processus psychiques et processus psychiques supérieurs.