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    • Les Philosophical Transactions

  • Le 6 mars 1665 paraissent les Philosophical Transactions of the Royal Society, la plus ancienne revue scientifique en activité.
  • On doit à l’époque du XVIIe siècle une histoire prodigieuse qui a vu se développer le discours scientifique moderne.
  • Henry Oldenburg, Allemand d’origine, qui devint secrétaire de la Royal Society de Londres a vu la nécessité d’un moyen de diffuser les connaissances scientifiques au public.
  • C’était une époque où bon nombre des plus grands penseurs gardaient secrètes leurs découvertes de peur qu’elles ne soient mal attribuées.
  • Néanmoins, Oldenburg a pu développer une correspondance active avec de nombreux philosophes naturels, à la suite de quoi il allait devenir secrétaire de la Royal Society de Londres.
  • En tant que secrétaire de la Royal Society, Oldenburg a poursuivi ses nombreuses correspondances et a communiqué les derniers développements scientifiques entre les plus grands scientifiques et mathématiciens à travers l’Europe.
  • Ce contact fréquent et le vaste réseau qui en a résulté ont abouti à la création par Oldenburg du premier périodique de la Royal Society, les Philosophical Transactions of the Royal Society.
  • Il s’agissait de la toute première revue scientifique au monde.
  • Les Philosophical Transactions ont résolu de nombreux problèmes des scientifiques refusant de partager leurs connaissances.
  • Oldenburg a gagné un large soutien en reconnaissant et en garantissant la priorité des premiers auteurs avant de diffuser leurs découvertes.
  • Oldenburg a également garanti une publication rapide qui, combinée à cette création d’un registre public de la propriété intellectuelle, a encouragé les scientifiques de l’époque à partager leurs travaux.
  • C’étaient des étapes importantes qui ont annoncé la création du processus scientifique moderne.
  • Les Philosophical Transactions incluraient, ensuite, les œuvres d’éminents scientifiques tels que Sir Isaac Newton, Charles Darwin, Michael Faraday et d’autres grands noms de la science.
  • Oldenburg est devenu le premier éditeur des Philosophical Transactions of the Royal Society.
  • Selon ses propres mots, leur objectif était de: « permettre aux scientifiques de transmettre leur connaissance l’un à l’autre et contribuer ce qu’ils peuvent au but d’améliorer la connaissance naturelle et perfectionner tous les arts philosophiques et les sciences.” Initialement, les Philosophical Transactions étaient publiées sous la forme d’un aperçu des correspondances obtenues par Oldenburg auprès des philosophes naturels.
  • Oldenburg éditerait et relierait les lettres, archiverait les dates et présenterait les publications.
  • Des réunions seraient ensuite organisées pour discuter les lettres imprimées.
  • Le ton du périodique évoluera plus tard pour convenir à un lectorat plus large du grand public.
  • Le périodique deviendrait le principal moyen de communiquer les sciences, inculquant ainsi une culture scientifique en Europe.
  • En tant que théologien, Oldenburg se considérait comme inapte à arbitrer la qualité des manuscrits soumis pour approbation.
  • À ce titre, il a vu la nécessité de confier cette tâche à un comité d’universitaires expérimentés de la Royal Society.
  • Les soumissions devaient être soumises à un examen minutieux de l’évaluation judiciaire, où les biais et les erreurs seraient éliminés et où la qualité de la recherche serait assurée avant approbation et publication.
  • Ces procédures ont constitué les premières incidences de ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de «Évaluation par les pairs» - une procédure scientifique profondément appréciée, aujourd’hui, comme un moyen de filtrer ou d’approuver les nouvelles informations comme recommandé et qui est actuellement utilisée presque entièrement par toutes les revues scientifiques de notre jour.
  • En créant le premier périodique scientifique où une archive publique pour préserver la priorité de l’effort intellectuel est garantie, Oldenburg a créé une plate-forme publique permettant aux auteurs scientifiques de présenter et de partager librement les connaissances qu’ils avaient acquises et, en outre, a donné aux lecteurs la possibilité de reproduire les expériences menées, examiner les résultats et les vérifier.
  • Les efforts d’Oldenburg constituent, en grande partie, les fondements qui sous-tendent bon nombre des caractéristiques dominantes qui régissent les revues scientifiques d’aujourd’hui.

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    • Henry Oldenburg, Allemand d’origine, qui devint secrétaire de la Royal Society de Londres a vu la nécessité d’un moyen de diffuser les connaissances scientifiques au public.
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