Korektoj

Merci pour vos corrections !

• "Qu'est - ce que vous voulez?""Avez - vous des chambres inoccupées/ vides?".

• "Oui" , - le portier a dit et a commencé à monter.

• J'ai regardé mon inconnue une dernière fois et , en sentant mon regard interrogatif, elle a rapidement couru dans les marches avec une grande audace.

• J'allais par dernière.

• Elle n'avais pas de caoutchouc et la boue a éclaboussé ses chaussures élégantes, le bas de sa robe et ses bas.

• Il est bizarre, mais cette petite observation a rempli mon coeur d'une pitié inexprimable.

• Le portier nous attendait près de la port de l'une des chambre.

• Maintenant que j'écris ces lignes, l'ameublement vulgarie de cette chambre s'insurge de nouveau devant moi.

• Même maintenant je me souviens de son numéro, ( c'était ) № 10.

• Le portier a essuyé le nez de sa main et a demandé:" Louez - vous la chambre pour une nuit ou pour quelques heures?" J'ai fait un signe avec ma main, mais il a continué: " Si pour une nuit, alors vous devrez présenter votre passeport...". "Hors d'ici!

• " - l'inconnue a soudainement dit.

• Elle a absolutement tranquillement prononcé ces mots avec un ton calme et simple d'une personne qui n'avait jamais d'idée/ qui n'a jamais soupçonné que son exigence pourrait ne pas être satisfaite.

• La force de l'aplomb inconscient était si grande que le portier insolent a sauté dehors avecun vue/ l'air décontenancé à l'instant.

• Nous sommes restés seules.

• Mon inconnue se tenait aussi devant la commode, sans bouger.

• Je suppose qu'elle ne pouvait pas s'habituer au dégout quie cette affreuse chambre lui inspirait .

• Le silence tendu durait probablement deux ou trois minutes.

• Soudain, elle a un peu tourné sa fière tête vers moi, mais sans me regarder, elle a demandé avec sa voix sévère: " Bien sûr, savez - vous pourquoi je me suis arrivée avec vous ici?" .

• "Pardonnez - moi, - ai - je balbutié,- Je ne le devine même pas".

• Elle s'est très prochement approché de moi.

• Ses yeux foncés , ses sourcils minces rapprochés au milieu de son front dans un pli en colère m'ont involontairement fait reculer. "Comme!

• Ne le savez - vous pas ?

• Vous êtes un homme et ne le savez - vous pas? Vous mentez!".

• Je ne pouvais pas trouver de réponses à ses questions méchantes et, en même temps, passionnées et je gardais le silence.

• L'inconnue a jeté le parapluie sur le divan avec son fort mouvement, puis elle a jeté son chapeau et elle a commencé à déboutonner sa jaquette avec ses mains tramblantes.

• " Ne le savez - vous pas? c'est même mieux!", j'ai entendu ses fâches phrases saccadées.

• "C'est même mieux!

• Vous devez savoir que j'avais besoin d'un premier/ fortuit passant.

• Comprenniez - vous?

• Simplement, un premier/ fortuit passant!

• C'est vous, oui, c'est précisément vous!

• J'avais besoin de vous pourquoi... ha- ha - ha...pourquoi... ha - ha - ha...".