корекции

Monsieur, Je vous écris cette lettre pour me présenter et pour vous expliquer la raison pour laquelle je voudrais donner mon avis personnel sur un sujet qui touche énormément notre société moderne.

Je suis le père d’un élève qui pendant sa carrière scolaire a été tellement tourmenté par ses échecs qu’il y a un mois, il nous a expressément déclaré, qu’il s’adresserait à des associations hautement qualifiés, pour fréquenter des cours particuliers afin d’en finir avec ses problèmes liés à l’apprentissage.

Or au début nous étions contraires, mais après quelques mois, nous avions remarqué une telle amélioration qui nous a laissé tellement étonnés que nous l’avions incité à poursuivre ce chemin.

Vu que cette problématique est très répandue chez les jeunes étudiants, pourquoi ne pourrions- nous activer des cours particuliers dans notre ville ?

Sur un article paru dans le quotidien le monde, j’ai appris que l’état a intégré des mesures fiscales, pour que de plus en plus élèves puissent bénéficier de tous les sévices offerts, qui comprennent entre outre, la possibilité de choisir l’enseignant afin d’y initier un parcours de formation qui les aidera davantage à libérer leur esprit pour mieux accomplir leurs devoirs.

Personne n’a jamais pris en considération le fait que des entreprises aient pu investir pour créer des véritables associations qui prennent en charge cette problématique, sans compter que Le Principal de notre école a publié sur le magazine hebdomadaire une déclaration où il affirme le manque totale de fonds pour faire face à cette réalité désastreuse.

C’est pour ça que mon fils et d’autres garçons comme lui ont du se déplacer dans d’autre villes pour avoir la possibilité d’accéder à ces cours.

En conclusion, je dois admettre que ces derniers temps des professeurs ont pris en main cette affaire, en mettant en œuvre des cours gratuits pour ces ados ; cela est très peu mais ça reste quand même un bon point de départ qui fait bien espérer.

Dans l’espoir que mon courrier retienne votre attention et dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie de croire, Monsieur le Maire, en l’expression de ma très haute considération.