Korektoj

La vérité sur l'empire du Japon (page 169)

• Par conséquent, les « élections idéales » étaient pas seulement « idéale » mais plutôt une partie d'un plus grand mouvement pour éradiquer la corruption.

• Dans les circonscriptions de grandes villes, où le nombre des électorats avaient augmenté c'était relativement facile d'acheter des élections, parce que la loyauté que l'on puisse sentir envers un candidat de la même région ou de la même origine ethnique étaient faibles.

• On essayait donc d'effectuer des élections avec une masse de partisans qui organisaient des démonstrations, des réunions et des conférences, dont on implorait la politique de leur candidat.

• Un homme qui effectuait une élection dans cette façon était le prime ministre Okuma Shigenobu.¹ En 1915 au temps du 12ème élection de la Chambre de Communes, le prime ministre Okuma distribuait les lettres de recommandation à tous les candidats.

• Pour solliciter le soutien et les votes d'électorat, il les faisait s'enregistrer leurs discours sur disques qu'il distribuait dans les circonscriptions.

• Okuma était un prôneur des « élections idéales » et adulait la pratique dans les médias.

• Né dans une famille de samouraïs dans le han de Saga.

• Un étudiant excellent dans les écoles du han, il entra la service civile après la restauration.

• Il s'opposa le pouvoir de la clique des hans de Satstuma et de Choshu sous Ito Hirobumi, après quoi il sort du service.

• Il devint le ministre étranger puis le prime ministre.

• Pourtant, cela ne résoudrait pas le problème de «l'argent et la politique.

• » Plutôt, le problème seulement empirait.

• Les frais de voyager, de louer les salles de discours, d'affiches, de pamphlets etc., devenait énormes.

• Un candidat qui s'appelait Kinoshita Kentaro dans la préfecture de Oita, disait dans une conversation franche : « dans des élections idéales on n'a aucune idée combien de votes sur lequel on peut compter, n'importe combien d'argent que l'on dépense.

• Pourtant, dans des élections achetées on peut comprendre clairement combien de votes on peut avoir avec l'argent que l'on dépense.

• C'est un système mieux marché.