Text from fitti - Français
Traduction
- De tout cela Antonio Giuseppe Maria Dacunti, enfant de Domenico Carmine Dacunti et Angela Papaleo, restera ignare pour toute la vie meme si seront les aventures de maison Buendia à le passer à l'histoire plus que n'importe quel autre aventure.
- Autrement que ses amis de son age qui s'étaient réfugiés sur les montagnes pour échapper aux soldats des souverains de Savoia, il avait endossé l'uniforme de la nouvelle armée unitaire et, au moment juste, avait choisi la vie de la mer.
- Il avait à peine vingt ans et une vie devant lui.
- Après beaucoup de péripéties en Amerique, il était arrivé dans ce village-là de vingt immeubles d'argile et de roseau selvatique, construit sur la rive d'un fleuve aux eaux diaphanes que ruinaient pour un lit de pierres polis, blanches et grandes comme des oeufs préhistoriques.
- La mer n'était pas si lontaine, surtout n'était pas la meme qu'il avait connu depuis toujours et ne portait pas avec soi les memes pericles que condamnèrent Giuda la garde à la fin du Nazareno.
- Sauf pour une futilité, quand un fonctionnaire avec problèmes de comprenette lui avait changé les attributs en lui renommant le prénom en Daconte, tout compts faits il allait bien meme sans la possibilité de se montrer à la fenetre et regarder plus loin de l'horizon.
- C'était lui à ouvrir le premier cinéma de son nouveau village.
- Il l'appelait Salon Olympia, en faisant hommage inconsciemment à la Magna Grecia qu'avait eu pour lui le role de mère, grand-mère, bisaieule, trisaieule.
- En réalité, l'objectif de Don Antonio était de recréer à Macondo l'atmosphère du mitique Salon Olympia de Bogotà, une grande salle cinematographique de trois mille places construite par deux pionniers compatriotes, les frères de Domenico, qu'avaient traversé l'océan avec seulement des pellicules, deux projecteurs, un generateur d'electricité et tout le nécessaire pour créer un cinéma ambulant.
- La nouvelle provoquait un petit ouragan à Macondo.
- Peu après était arrivée une autre terrible innovation que signait définitivement la perte d'innocence du village et portait beaucoup d'incertitudes et de verités , de flatteries et de disaventures, de changements, de calamités et de nostalgies: le chemin de fer.
- Cet affaire effrayant comme une cuisine que se traine un village, comme le montrait l'homme que le diffusait pour premier aux gens du village en pensant aux affaires qu'il aurait apporté et sans savoir le mal qu'aurait eu: Aureliano Triste, direct descendant de Josè Arcadio Buendia, fondateur de Macondo.
- Ebouie par si merveilleuses inventions, les gens de cent ans de solitude ne sachaient pas d'où commencer à se stupéfier.
- Il s'indignait pour les personnages vivants qu'étaient projetés au théatre par les petites boutiques à gueules de lion, parce que un personnage mort et enterré dans une pellicule, et pour les disaventures duquel on avait versé des larmes d'affliction, réapparait vive et transformé en arabe dans la pellicule suivante.
- Le publique, que payait deux centavos pour supporter cette plaisanterie inouie, et détruite toute la banquette.
- Le maire alors fut forcé à publier un avis qu'éxplicait que le cinéma était seulement une machine d'illusions et ne méritait pas les intempérances passionnelles du publique.
- fittiAugust 2017Głosuj teraz!
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