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  • Frôler la mort

  • J’ai de la chance parce que, même si de temps à temps je me plains, peut-être j’ai trop de boulot, ou peut-être j’ai des choses à réparer dans la maison, ou peut-être je me dispute avec un ami…mais, le simple fait qui reste c’est que…j’ai un boulot, j’ai une maison, j’ai des amis…Autrefois, je ne pouvais pas compter de tout cela.
  • J’ai grandi dans une ville obscure, que personne ici ne connaîtrais pas, j’en suis sûr.
  • Il s’appelle Pen-Y-Bont, ouais, je sais, quelle langue étrange !
  • Ça vaut dire « le fin du pont ».
  • Oui, nous avions un pont.
  • Il était devenu très connu parce-que quelqu’un à décider de se jeter d’une hauteur de 4 ou 5 cents mètres dans l’abîme.
  • J’ai lu qu’après des autres lui ont suivis.
  • Au début, quand j’étais gamin, c’était un endroit charmant ; c’est vrai que c’était toujours un peu moche, mais c’était devenu de plus en plus pire.
  • Quand j’avais sept ans, il a neigé, et j’ai bâti un petit bonhomme de neige avec ma mère et une amie.
  • Quelqu’un, ou une bande, l’a démoli.
  • Tu peux rire, mais j’étais tout petit et quelqu’un a tué mon nouvel ami.
  • Quand j’avais 8 ans, ma mère a presque fait une crise de cardiaque en voyant un enfant de mon classe en train de fumer dans la rue.
  • A 9 ans, il y en avait plein, et ce n’était pas juste des cigarettes qu’ils fumaient.
    • A 10 ans, une douzaine des enfants âgés de 7 au 13 m’est approchés et, le plus petit entre eux m’a frappé le visage.
  • Quand j’avais 11 ans, l’été, j’ai appris beaucoup sur la vie.
  • J’ai fait un nouvel ami ; il était très populaire à l’école, très fort et aimé par les filles.
  • Il m’a appris à être méchant, de jurer, et même de crier aux passants dans la rue.
  • J’ai honte…nous avons fait des choses terribles.
  • J’ai même commencé de participer dans le « stoning ».
  • Non, ce ne sont pas de drogues, c’est une acte qu’on choisissait quelqu’un auquel nous lançons des projectiles, surtout des pierres.
  • En gros, ce n’était pas joli… Un jour, j’ai payé pour mes crimes.
  • J’avais 11 ans… Un après-midi, en plein été, mon ami m’a invité de sortir, de profiter du soleil.
  • J’ai sorti avec lui, et il m’a même convainque de jouer au « stoning » avec lui…j’avais peur qu’il m’appellerait un lâche, ou de renoncer notre amitié si j’ai refusé.
  • Alors, on a commencé.
  • Tout ce que je sais c’est que…j’ai choisi la mauvaise cible (ou peut-être la bonne)…C’était quelqu’un d’une bande avec la plus terrifiante réputation dans le coin.
  • Nous avons lancé des pierres, et ensuite je me souviens que j’ai couru ; ils étaient plus nombreux que nous.
  • Mon ami était plus vite que moi, j’ai essayé de lui appeler, mais il n’a pas arrêté.
  • Donc, j’ai essayé de me cacher, mais quelqu’un m’a trouvé.
  • J’avais tellement peur.
  • Il avait peut-être 13 ou 14 ans, beaucoup plus fort que moi, et il m’a attrapé le cou.
  • Je croyais il allait m’étrangler.
  • J’ai senti la douleur se répandait dans toutes les fibres de mon être.
  • J’ai même su qu’il portait un couteau sur lui.
  • Il m’a dévisagé, il était en plein colère, je croyais il me frapperait, mais il m’a tout simplement dit, s’il me trouvait une fois de plus dans la rue, il me tuerait.
  • Et ensuite, il m’a laissé, partant vers son bande.
  • J’ai resté sur place pendant un bon moment, réfléchissant ce qui vient de se passait.
  • J’avais tellement peur, mais au plus fond de moi, je savais que j’avais tort.
  • Mon ami, après tout, m’a abandonné, et je l’ai suivi en faisant une chose duquel j’avais honte.
  • J’ai appris quelque chose sur la vie, ce jour-là.

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