Corrections

Conditionnel. P.216.

• 1.Si tu savais ce que m’avait retenu, tu ne serais pas fâché, mais tu ne me donnes pas dire un mot.

• Bien sûr, s’il savait, que je ne suis pas en bonne santé, il n’insisterait pas sur son invitation.

• 3.Je ne sais pas, qu’est-ce que je dois répondre à cette proposition.

• Et si vous étiez à ma place, qu’est-ce que vous ferriez? 4.

• Si j’avais le même âge que toi, je regarderais les choses, probablement, d’une autre manière.

• 5.Je n’ai pas pensé qu’il a tant de travail.

• Si je le savais, je hésiterais bien sûr à lui m’adresser.

• 6.Si Lucien avait même le doute le plus petit concernant les motifs de l’éditeur, il ne lui donnerait pas bien sûr son adresse.

• 7.Georges Durois ne deviendrais pas peut-être journaliste, s’il ne rencontrait un jour Forestier, son copain du régiment, absolument par hasard.

• 8.Certains historiens disent que Napoléon a dû donner sa garde intacte afin que la bataille soit gagnée.

• On dit ce que serait si Napoléon donnait sa garde c’est la même chose qu’on dit ce que serait si le printemps apparaissait au temps d’automne.