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Text från Maria8811 - Français

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  • "La dame au petit chien".
    • À Moscou tout était déjà comme en hiver: on chauffait les poêles, le matin, quand les enfants avaient pris leur thé et s'étaient préparés à aller à la gymnasie , on allumait les bougies pour un court instant.
    • On sentait déjà les gélées hâtives/ précoces.
    • Quand tu vois la première neige, la terre blanche, les toits blancs tu respires plus léger, plus doucement, tu te rappelles toujours la jeunesse, et les vieux bouleaux et tilleuls se deviennent plus proches au coeur que les cyprès et les palmiers, il n'y a aucun désir de penser aux montagnes et à la mer.
    • Gurov était Moscovite.
    • C'était une bonne journée d'hiver quand il rentra/ arriva à Moscou.
    • Il habilla le manteau de fourrure, les gants, fit un tour dans Petrovka, en écoutant le sonnerie de cloches ( des cloches???), et les souvenirs du voyage, des endroits, où il était, perdirent tout le charme.
    • Peu à peu il se plonga dans la vie de Moscou : les restaurants, les clubs commençaient à l'attirer, et les visites de célèbres avocats et acteurs lui flattaient beaucoup.
    • Gurov lisait trois journals par jour, bien qu'il affirmait qu'il ne lises pas des journals par principe.
    • Un mois passera et le brouillard couvrira probablement Anna Sergeevna et elle ne va venir que parfois à ses rêves comme le faisaient toutes les autres femmes.
    • Mais un mois passa, l'hivre vraie arriva, mais les souvenirs d'Anna Sergeevna étaient aussi claires comme s'il la abandonna hier.
    • Les souvenirs se déchaînaient de plus en plus et ils étaient partout : dans les voix d'enfants qui étaient à peine entendus dans son bureau ou dans le silence du soir quand une tempête de neige hurlait dans la cheminée ou quand il écoutait une romance ou un orgue dans le restaurant.
    • En un instant, tout ressuscitait dans sa mémoire: le petit matin qu'ils avaient passé dans les montagnes, la bateau à vapeur de Feodosiya, tout ce qui passait sur la jetée, les baisers.
    • Il marchait longtemps dans sa chambre et souvenait, souriait, et ensuite les souvenirs se transformaient en rêves et le passé se mélangait dans son imagination avec celui qui sera.
    • Anna Sergeevna n'était pas son rêve, elle était avec lui partout comme son ombre et le surveillait.
    • Quand il avait fermé les yeux, il la voyait comme si elle était près de lui et elle lui semblait plus belle, plus jeune, plus caressante qu'elle était, il semblait mieux à lui-même qu'il était à Yalta.
    • Elle le regardait de la bibliothèque, de la cheminée, du coin, il entendait sa respiration, le froufrou de ses vêtements.
    • Dehors/ Dans la rue, il regardait les femmes, en cherchant des semblantes à elle.

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    • À Moscou tout était déjà comme en hiver: on chauffait les poêles, le matin, quand les enfants avaient pris leur thé et s'étaient préparés à aller à la gymnasie , on allumait les bougies pour un court instant.
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    • À Moscou tout était déjà comme en période d'hiver: on chauffait les poêles, le matin,; quand les enfants avaient pris leur thé et s'étaient préparés àpour aller à lau gymnasie , on allumait les bougies pour un court instant.
    • À Moscou tout, l'atmosphère était déjà comme en hiver: on chauffait les poêles, le matin,. Le matin les poêles chauffaient. Et quand les enfants avaient pris leur thé et s'étaient préparés à pour aller à la gymnasi'école , on allumait les bougies pour un courtquelques instants.
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    • À Moscou tout était déjà comme en hiver: onl'hiver semblait s'être déjà installé: le matin, on faisait chauffaiter les poêles, le matin, quand les enfants avaient pris leur thé et s'étaient préparés à pour aller à laau gymnasie(à l'école) , on allumait les bougies pour un court instant.
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    • Quand tu vois la première neige, la terre blanche, les toits blancs tu respires plus léger, plus doucement, tu te rappelles toujours la jeunesse, et les vieux bouleaux et tilleuls se deviennent plus proches au coeur que les cyprès et les palmiers, il n'y a aucun désir de penser aux montagnes et à la mer.
      Rösta nu!
    • Quand tu vois la première neige, la terre blanche, les toits blancs, tu respires plus légerèrement, plus doucement, tu te rappelles toujours la jeunesse, et les vieux bouleaux et tilleuls ste deviennesont plus proches au coeœur que les cyprès et les palmiers,; il n'y a aucun désir de penser aux montagnes et à la mer.
    • Quand tu vois la première neige, la terre blanche,et les toits revêtus de blancs, tu respires plus léger, plusdétendu, doucement, t. Tu te rappelles toujours lta jeunesse, et l. Les vieux bouleaux et les tilleuls se deviennent plus proches audans ton coeur que les cyprès et les palmiers, i. Il n'y a aucun désir(aucune raison) de penser aux montagnes etou à la mer.
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    • Quand tu vois la première neige, la terre blanche, les toits blancs, tu respires plus légerement, plus doucement, tu te rappelles toujours lta jeunesse, et les vieux bouleaux et les tilleuls se deviennent plus proches aude ton coeur que les cyprès et les palmiers, il n'y a plus aucun désir de penser aux montagnes et à la mer.
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    • Il habilla le manteau de fourrure, les gants, fit un tour dans Petrovka, en écoutant le sonnerie de cloches ( des cloches???), et les souvenirs du voyage, des endroits, où il était, perdirent tout le charme.
      Rösta nu!
    • Il s'habilla led'un manteau de fourrure, lmit ses gants, fit un tour dans Petrovka, e. En écoutant le sonnerie de cloches ( des cloches???), et, les souvenirs due voyage, des endroits, où il étavait été, perdirent tout leur charme.
    • Il s'habilla led'un manteau de fourrure, lmit ses gants, fit un tour dans la rue Petrovka, en écoutant lea sonnerie de cloches ( des cloches???), et les souvenirs du voyage, des endroits, où il s'était, rendu perdirent tout leur charme.
    • Il hHabilla leé d'un manteau de fourrure, l et portant des gants, il fit un tour dans la rue Petrovka, e. En écoutant lea sonnerie de cloches ( des cloches???), et, les souvenirs du voyage, des endroits, où il s'était rendu, perdirent tout le charme.
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    • Il habillamit le manteau de fourrure, les gants, fit un tour dans Petrovka, en écoutant le sonnerie de cloches ( des cloches???), et les souvenirs du voyage, des endroits, où il s'était, rendu perdirent tout leur charme.
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    • Peu à peu il se plonga dans la vie de Moscou : les restaurants, les clubs commençaient à l'attirer, et les visites de célèbres avocats et acteurs lui flattaient beaucoup.
      Rösta nu!
    • Peu à peu il se plong'immergea dans la vie de Moscou : les restaurants, les clubs commençaient à l'attirer,; et les visites de célèbres avocats et acteurs luie flattaient beaucoup.
    • Peu à peu, il se plongea dans la vie de Mmoscou : lvite . Les restaurants, les clubs commençaient à l'attirer, et les visites de célèbres avocats etou acteurs luie flattaient beaucoup.
    • Peu à peu il se plonga dans la vie de Moscoumoscovite : les restaurants, les clubs commençaient à l'attirer, et les visites de célèbres avocats etdes acteurs luie flattaient beaucoup.
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    • Un mois passera et le brouillard couvrira probablement Anna Sergeevna et elle ne va venir que parfois à ses rêves comme le faisaient toutes les autres femmes.
      Rösta nu!
    • Un mois va passera et le brouillard couvrira probablement Anna Sergeevna, et elle ne va veniriendra que parfois àdans ses rêves comme le faisaientc'était le cas avec toutes les autres femmes.
    • Un mois passera et le brouillard couvrira probablement Anna Sergeevna et elle ne va venir que parfois àsouvenir d'Anna Sergeevna se brouillera(s'évanouira) dans son coeur, même si parfois elle ressurgira dans ses rêves comme le faisaient toutes les autres femmes.
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    • Un mois passera et le brouillard recouvrira probablement le souvenir d'Anna Sergeevna et elle ne va venir que parfois à reviendra plus que dans ses rêves, comme le faisaient toutes les autres femmes.
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    • Mais un mois passa, l'hivre vraie arriva, mais les souvenirs d'Anna Sergeevna étaient aussi claires comme s'il la abandonna hier.
      Rösta nu!
    • Mais un mois était passaé, l'hivre vraie arriva, mais hiver était là, et les souvenirs d'Anna Sergeevna étaient aussi claires/présents comme s'il la'avait abandonnaé hier.
    • Mais un mois passa, l'hivre vraiee véritable hiver arriva, mais les souvenirs d'Anna Sergeevna étaient aussi claires comme s'il la abandonna hier que lorsqu'il l'avait quittée.
    • Mais un mois passa, l'hivre vraie arriva, maiser était là, et les souvenirs d'Anna Sergeevna étaient aussi clairest toujours aussi présent comme s'il la'avait abandonna hierée la veille.
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    • Mais uUn mois passa, l'hivre vraie arriver s'installa, mais les souvenirs d'Anna Sergeevna étaient aussi claires comme s'il la abandonna hierque si elle l'avait abandonné la veille.
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    • Les souvenirs se déchaînaient de plus en plus et ils étaient partout : dans les voix d'enfants qui étaient à peine entendus dans son bureau ou dans le silence du soir quand une tempête de neige hurlait dans la cheminée ou quand il écoutait une romance ou un orgue dans le restaurant.
      Rösta nu!
    • Les souvenirs se déchaînaient de plus en plus et ils étaient partout : dans les voix d'enfants qui étaient à peine entendus danaudibles depuis son bureau ou dans le silence du soir quand une tempête de neige hurlait dans la cheminée; ou quand il écoutait une air romanctique ou un orgue dans le restaurant.
    • Les souvenirs se déchaînaient de plus en plus et ils étaient partout : dans les voix d'enfants qui étaient à peine entendus danaudibles depuis son bureau ou dans le silence du soir quand une tempête de neige hurlait dans la cheminée ou quand il écoutait une romance ou un orgue dans leun restaurant.
    • Les souvenirs sle déchaînharcelaient de plus en plus et ils étaient partout : dans les murmure de(s) voix d'enfants qui étaient à peine entendus, dans son bureau ou dans le silence du soir quand unela tempête de neige hurlait dans la cheminée ou quand il écoutait une romance ou un orgue dans leun restaurant.
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    • En un instant, tout ressuscitait dans sa mémoire: le petit matin qu'ils avaient passé dans les montagnes, la bateau à vapeur de Feodosiya, tout ce qui passait sur la jetée, les baisers.
      Rösta nu!
    • En un instant, tout ressuscitait dans sa mémoire: le petit matin qu'ils avaient passé/partagé dans les montagnes, lae bateau à vapeur de Feodosiya, tout ce qui passaits'était passé sur la jetée, les baisers.
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    • Il marchait longtemps dans sa chambre et souvenait, souriait, et ensuite les souvenirs se transformaient en rêves et le passé se mélangait dans son imagination avec celui qui sera.
      Rösta nu!
    • Il marchpentait longtemps dans sa chambre et se souvenait, souriait,; et ensuite les souvenirs se transformaient en rêves et le passé se mélangeait dans son imagination avec celui qui serale temps à venir.
    • Il marchait de longtemps en large dans sa chambre et se souvenait, souriait, et ensuite l. Les souvenirs se transformaient en rêves et le passé se mélangeait à son avenir dans son imagination avec celui qui sera.
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    • Quand il avait fermé les yeux, il la voyait comme si elle était près de lui et elle lui semblait plus belle, plus jeune, plus caressante qu'elle était, il semblait mieux à lui-même qu'il était à Yalta.
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    • Quand il avait ferméait les yeux, il la voyait comme si elle était près de lui et elle lui semblait plus belle, plus jeune, plus caressante qu'elle était, en réalité; il sembl sentait mieux à lui-même qu'il ne l'était à Yalta.
    • Quand il avait ferméait les yeux, il la voyait comme si elle était près de lui et, elle lui semblait plus belle, plus jeune, plus caressante qu'elle n'était, i. Il semblait mieux à lui-mêmeêtre plus heureux qu'il n'était à Yalta.
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    • Elle le regardait de la bibliothèque, de la cheminée, du coin, il entendait sa respiration, le froufrou de ses vêtements.
      Rösta nu!
    • Elle le regardait de la bibliothèque, du coin de la cheminée, du coin, il entendait sa respiration, le froufrou de ses vêtements.
    • Elle le regardait de la bibliothèque, du coin de la cheminée, du coin, il entendait sa respiration, le froufrouissement de ses vêtements.
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