Κείμενο από Maria8811 - Français
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- Eroshka, que Gavrila envoya pour surveiller Guérassime, voyait de loin que le sourd - muet entra dans le cabaret, où on le connaissait et comprenait bien, commanda une soupe à la viande et s'asseit s'appuyant ses mains sur la table.
- Moumou resta debout près de lui, en regardant tranquillement de ses yeux intelligents.
- Ses poils étaient soyeux comme si on les peigna il n'y a pas si longtemps.
- Quand on avait apporté la soupe, Guérassime émietta le pain dans une assiette et la mit sur le plancher.
- Moumou commença à manger; elle mangait proprement comme toujours: en touchant à peine son museau de la nourriture.
- Guérassime la regardait depuis longtemps , soudain deux larmes lourdes roulèrent de ses yeux; l'une tomba sur le front de Moumou, l'autre dans l'assiette.
- Il couvrit le visage de ses mains.
- Moumou manga une demi - assiette de soupe et s'écarta, en se léchant.
- Guérassime se leva, paya et sortit dehors.
- Apercevant Guérassime, Eroshka se cacha derrière le coin et quand le sourd - muet avait passé devant lui, il le suivit de nouveau.
- Guérassime marchait tranquillement et ne laissait pas Moumou en laisse.
- Il tourna au coin d'une petite maison et emporta deux briques de là.
- Ensuite, il se tourna vers une rivière et allait dans la rive.
- Quand il avait atteint l'endroit où se trouvaient des petites canots ( il les remarqua plus tôt), il souta avec Moumou dans l'une d'eux.
- Un vieillard sortit d'une hutte installée entre la rive et un jardin potager et commença à crier contre Guérassime, mais celui - ci acquiesça seulement de sa tête et continua de ramer.
- Le vieillard se tenait un peu, se gratta son dos avec sa main gauche et en boitant, rentra dans son hutte.
- Guérassime ramait et ramait, la Moscou resta déjà en arrière de lui.
- Maintenant on voyait des prés, des champs, des izbas, des bosquets aux bords de la rivière.
- Guérassime resta les rames et se serra contre Moumou qui était assise sur une traverse sèche, le fonde de canot était été rempli d'eau.
- Enfin, Guérassime se redressa, banda les briques avec une corde, eut vêtu/ enfila dans sa hâte le noeud sur le cou de Moumou.
- Il la souleva au - dessus de l'eau, la regarda dans une dernière fois...
- Elle regardait avec confiance, n'avait pas peur et agitait un peu sa queue.
- Il tourna la tête, ferma les yeux et desserra les mains.
- Guérassime n'entendit rien.
- La journée la plus bruyante était silencieuse et muete comme aucune nuit la plus calme n'est pas silencieuse pour nous.
- Quand il ouvrit les yeux de nouveau, alors comme avant les petites vagues couraient l'une derrière l'autre, se brisant contre les flancs de canot, et seulement par derrière il y avait des cercles larges sur l'eau.
- Eroshka était rentré à la maison après que Guérassime disparaîtit de la vue, et raconta tout ce qu'il avait vu.
- "Oui, - dit Stepan, - Il la noyera.
- Il tiendra sa promesse".
- Pendant la journée personne ne voyait Guérassime.
- Il ne dîna pas chez lui.
- C'était le soir, tout le monde se réunirent de souper/ tout le monde se mirent à table pour souper.
- "Guérassime est étrange, à quoi bon il est si triste à la cause d'un simple chien," - dit l'une des blanchisseuses.
- "Il y a deux heures Guérassime était ici.
- Je l'ai rencontré près du portail.
- Je voulais lui poser des questions sur le chien, mais il était de mauvaise humeur, " - dit Stepan.
- À cette époque - là, un géant avec un sac et un bâton long marchait de son pas rapide/ rapidement dans une route.
- C'était Guérassime.
- Il pressait, puisque il se hâtait de rentrer dans son village natal.
- Quand il était noyé Moumou, il courut dans sa pièce, fit son sac avec agilité, l'accrocha dérrière/ sur son dos et sortit.
- Il remarqua bien le chemin lorsqu'on le conduisait à Moscou.
- Il marchait et sentait une résolution joyeuse comme si sa vieille mère l'attendait dans son izba.
- La nuit d'été était calme et chaude.
- D'une part, là - bas où l soleil coucha, le ciel était encore blanc sous les reflets du jour disparu, d'autre part il y avait déjà une obscurité bleue.
- La nuit passait de là.
- Guérassime ne pouvait pas entendre les trilles des oiseaux nocturnes, les murmures des arbres, mais il sentait l'odeur connue du seigle mûr.
- Cette odeur volait comme le vent et battait doucement son visage, jouait dans ses cheveux et sa barbe.
- Il voyait la route blanche qui était droite comme une flèche et les méridiens des étoiles qui éclairaient son chemin.
- Il marchait résolument et vigoureusement, comme un lion, vers le soleil levant.
- Deux jours plus tard, il arriva chez lui, dans sa petite izba.
- Après avoir prié, il alla au starosta ( une personne, qui dirige le travail des paysans et perçoit les impôts).
- D'abord, le starosta l'eut surpris, mais puisque la fenaison commença, il se réjouit l'apparition inattendue d'un bon travailleur comme Guérassime.
- C'était vrai, Guérassime fouchait tant que les paysans ne puissent pas croire leurs yeux.
- Le lendemain de l'évasion du sourd - muet, on commença à le chercher.
- Maria8811August 2019100% GOOD (1 votes)
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